Tin Ngoại Ngữ
Tin Ngoại Ngữ
- Viết bởi Anne Kurian
ROME, 9 février 2015 (Zenit.org) - La huitième réunion du Conseil des cardinaux (C9), s'est ouverte avec la participation du pape François ce 9 février 2015 au Vatican et se conclura mercredi prochain, 11 février, annonce un communiqué du Saint-Siège.
Au terme de la septième réunion, les 9-11 décembre derniers, le P. Federico Lombardi, directeur de la salle de presse du Saint-Siège, avait précisé que cette rencontre serait l'occasion « d'examiner les propositions de réforme de la curie romaine ».
La réflexion est encore « ouverte » car le C9 a « vraiment pris en compte les observations des chefs de dicastères » et « le chemin de la réforme prendra encore du temps », avec la consultation des cardinaux et les vérifications canonique et juridique de la faisabilité des réformes envisagées.
Le travail en est encore à la « formulation d'orientations » : le va et vient des consultations continue. C'est cela la « synodalité », avait indiqué le P. Lombardi.
La rencontre sera suivie les 12-13 février par un consistoire des cardinaux sur la réforme de la curie et les 14-15 février par un consistoire pour la création de vingt nouveaux cardinaux.
Le C9 est composé de neuf cardinaux : Oscar Andres Rodriguez Maradiaga (Honduras, coordinateur), Giuseppe Bertello (Italien, curie), Francisco Javier Errazuriz Ossa (Chili, pour l’Amérique latine), Sean Patrick O'Malley (Etats-Unis, pour l’Amérique du Nord), Oswald Gracias (Inde, pour l’Asie), Reinhard Marx (Allemagne, pour l’Europe), Laurent Monsengwo Pasinya (RDC, pour l’Afrique), George Pell (Australie, pour l’Océanie) et Pietro Parolin (Secrétaire d’État).
Anne Kurian
- Viết bởi Pape Francois
ROME, 9 février 2015 (Zenit.org) - « La Terre n’est pas un héritage que nous avons reçu de nos parents, mais un prêt que nous font nos enfants... La terre, qui est la mère de tous, demande respect et non pas violence ou arrogance de patrons. Nous devons la redonner à nos enfants, plus belle qu’avant, soignée », déclare le pape François
Le pape a fait parvenir un message vidéo à l’occasion de la rencontre « Les idées d’expo 2015 – vers la Charte de Milan » organisée à Milan par le ministère italien des politiques agricoles, alimentaires et forestières en collaboration avec Expo Milan 2015, le 7 février dernier.
Le pape exhorte les 500 experts nationaux et internationaux participants à « aller des urgences aux priorités », c'est-à-dire aller au-delà d'une « proposition toujours provisoire », vers « des propositions fermement décidées à résoudre les causes structurelles de la pauvreté ».
Il encourage également les responsables gouvernementaux à être des « témoins de la charité » en mettant toujours au centre de leurs décisions « la dignité de la personne humaine et le bien commun ».
Enfin, il appelle tous les hommes à prendre soin de la terre, « mère, capable de donner à chacun tout ce qui lui est nécessaire pour vivre » : « Être des gardiens de la terre n’est pas une attitude exclusive des chrétiens, cela concerne tout le monde. »
A.K.
Message vidéo du pape François
Bonjour à vous tous, hommes et femmes, qui êtes rassemblés aujourd’hui pour réfléchir au thème : « Nourrir la planète, Énergie pour la vie ».
A l’occasion de ma visite à la FAO [Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l'agriculture], je rappelais qu’en plus de l’attention « à la production alimentaire, à la disponibilité de nourriture et à l'accès à celle-ci, ainsi qu'aux changements climatiques et au commerce agricole » qui sont des questions inspiratrices cruciales, « la première préoccupation doit concerner les personnes qui manquent du pain quotidien, qui en sont réduits à lutter pour survivre au point de ne plus se préoccuper de vie sociale ni de rapports familiaux » (Discours à la FAO, 20 novembre 2014).
Aujourd’hui, en effet, malgré la multiplication des organisations et les différentes interventions de la communauté internationale sur la nutrition, nous vivons ce que le pape Jean Paul II appelait un « paradoxe de l’abondance ». Car « il y a de quoi nourrir tout le monde mais tous ne parviennent pas à manger, alors même que le surplus et le rebut, la surconsommation et l'usage détourné d'aliments sont monnaie courante. Malheureusement, ce paradoxe est plus que jamais actuel. Il y a peu de sujets comme la faim auxquels on applique tant de sophismes, dont on manipule les données et les statistiques en fonction de la sécurité nationale, par corruption ou référence feinte à la crise » (ibid.).
Pour surmonter la tentation des sophismes – ce nominalisme de la pensée qui va toujours plus loin, plus loin, mais ne touche jamais la réalité – pour surmonter cette tentation, je vous suggère trois comportements concrets.
1) Aller des urgences aux priorités
Que votre regard et vos cœurs se tournent non pas vers un pragmatisme d’urgence qui se révèle comme une proposition toujours provisoire, mais vers des propositions fermement décidées à résoudre les causes structurelles de la pauvreté. Rappelons-nous que la disparité sociale est la racine de tous les maux (cf. Evangelii gaudium, 202). Je tiens à vous rappeler ce que j’ai écrit dans Evangelii gaudium: « Non à une économie de l’exclusion et de la disparité. Une telle économie tue. Il n’est pas possible que le fait qu’une personne âgée réduite à vivre dans la rue, meure de froid ne soit pas une nouvelle, tandis que la baisse de deux points en bourse en soit une » (ibid., 53). Ceci entre dans le jeu de la compétitivité selon laquelle le plus fort l’emporte toujours sur le plus faible. Mais attention : ici la logique à laquelle on a à faire n’est plus uniquement celle de l’exploitation mais celle du déchet ; en effet « les exclus ne sont pas des ‘exploités’, mais des déchets, ‘des restes’. » (ibid., 53).
Si nous voulons donc vraiment résoudre les problèmes et ne pas nous perdre dans les sophismes, il est nécessaire de résoudre la racine de tous les maux qui est la disparité. Pour y arriver il y a des choix prioritaires à faire : renoncer à l’autonomie absolue des marchés et de la spéculation financière et agir avant tout sur les causes structurelles de la disparité.
2) Soyez des témoins de charité
« La politique, tant dénigrée, est une vocation très noble, elle est une des formes les plus précieuses de la charité, parce qu’elle cherche le bien commun ». Nous devons nous convaincre que la charité « est le principe non seulement des micro-relations : rapports amicaux, familiaux, en petits groupes, mais également des macro-relations : rapports sociaux, économiques, politiques » (ibid., 205).
D’où une saine politique économique doit-elle donc partir ? Quel véritable engagement faudrait-il attendre des politiciens ? Sur quels piliers doivent s’appuyer ceux qui sont appelés à administrer la chose publique ? La réponse est précise: la dignité de la personne humaine et le bien commun. Or, malheureusement, bien souvent, ces deux piliers, qui devraient structurer la politique économique, « semblent être des appendices ajoutés de l’extérieur pour compléter un discours politique sans perspectives ni programmes d’un vrai développement intégral » (ibid., 203). S’il vous plaît, soyez courageux et ne craignez pas, dans les projets politiques et économiques, de toujours vous laisser interroger par un sens plus large de la vie car cela vous aidera à « servir vraiment le bien commun », et vous donnera la force de « multiplier et rendre plus accessibles à tous les biens de ce monde. » (ibid.).
3) Des gardiens et non des patrons de la terre
Comme je le disais à la FAO, je me souviens d’une phrase, que j’ai entendue d’une personne âgée, il y a de nombreuses années: « Dieu pardonne toujours les offenses, les abus. Dieu pardonne toujours. Les hommes pardonnent parfois. La terre ne pardonne jamais ! Protéger la sœur terre, la mère terre, afin qu’elle ne réponde pas par la destruction » (Discours à la FAO, 20 nov. 2014).
Face aux biens de la terre nous sommes appelés à « ne jamais perdre de vue ni l’origine, ni la finalité de tels biens, de façon à réaliser un monde juste et solidaire », dit la doctrine sociale de l’Église (Compendium de la Doctrine Sociale de l’Église, 174). La terre nous a été confiée afin que qu’elle soit pour nous une mère, capable de donner à chacun tout ce qui lui est nécessaire pour vivre. Un jour j’ai entendu une jolie chose: la Terre n’est pas un héritage que nous avons reçu de nos parents, mais un prêt que nous font nos enfants, pour que nous en soyons les gardiens et la fassions tourner avant de la leur rendre. La terre est généreuse et ne fait manquer de rien à ceux qui veillent sur elle. La terre, qui est la mère de tous, demande respect et non violence ou pire encore arrogance de patrons. Nous devons la redonner à nos enfants, plus belle qu’avant, soignée, car c’est un prêt qu’ils nous ont fait. Être des gardiens de la terre n’est pas une attitude exclusive des chrétiens, cela concerne tout le monde. Je vous confie ce que j’ai dit au cours de ma première messe comme évêque de Rome [19 mars 2013] : « Je voudrais demander, s’il vous plaît, à tous ceux qui occupent des rôles de responsabilité dans le domaine économique, politique ou social, à tous les hommes et à toutes les femmes de bonne volonté : nous sommes des « gardiens » de la création, du dessein de Dieu inscrit dans la nature, des gardiens de l’autre, de l’environnement ; ne permettons pas que des signes de destruction et de mort accompagnent la marche de notre monde ! Mais pour « garder » nous devons aussi avoir soin de nous-mêmes ! [...] Nous ne devons pas avoir peur de la bonté, et même pas non plus de la tendresse ! ». Prendre soin de la terre demande non seulement bonté, mais aussi tendresse.
Voici les trois attitudes que je vous offre pour surmonter les tentations du sophisme, des nominalismes, de ceux qui cherchent à faire quelque chose mais sans rien de concret pour la vie. Choisir à partir de la priorité : la dignité de la personne ; être des hommes et des femmes témoins de charité ; ne pas avoir peur de protéger la terre qui est la mère de tous.
Je vous demande à tous de prier pour moi : j’en ai besoin. Et j’invoque sur vous la bénédiction de Dieu. Merci.
Traduction de Zenit
- Viết bởi Junno De Jesús Arocho Esteves
Vatikanstadt, 6. Februar 2015 (ZENIT.org)
Erstmals in der Geschichte der USA wird ein Papst sich mit einer Rede unmittelbar an den US-Kongress wenden. Der Sprecher des Repräsentantenhauses, John Boehner, hat am Donnerstag während der wöchentlichen Pressekonferenz angekündigt, dass Papst Franziskus das Kapitol, den Sitz des Kongresses, am 24. September besuchen wird. Laut Zeitungsmeldungen bestätigte Vatikansprecher Pater Federico Lombardi SJ die Ankündigung.
In einer Stellungnahme hob Boehner die Bedeutung des Ereignisses hervor. An dem Tag werde sich der Heilige Stuhl erstmals an die gemeinsame Sitzung beider Kammern des Kongresses wenden, wie dies alljährlich der US-Präsident in seiner Ansprache zur Lage Nation tut. „Es wird ein historischer Besuch sein und wir sind ehrlich dankbar dafür, dass Papst Franziskus unsere Einladung angenommen hat.“ Die Botschaft des Pontifex für Mitgefühl und Würde sei entscheidend in einer Zeit des globalen Umbruchs.
„Seine Lehren, Gebete, und sein eigenes Beispiel führen uns zum Segen der einfachen Dinge zurück sowie zu unseren gegenseitigen Verpflichtungen“, schrieb er in der Erklärung. Der Kongress freue sich darauf, Papst Franziskus ein warmes Willkommen zu bereiten und stellvertretend für das amerikanische Volk seine Ansprache zu hören. (mk)
( 6. Februar 2015) © Innovative Media Inc.
- Viết bởi Junno De Jesús Arocho Esteves
Papst Franziskus führte gestern ein lebhaftes Chat mit verschiedenen behinderten Kindern aus aller Welt. Der Papst sprach mit den Kindern über Google Hangout und war somit zu Gast auf dem von „Scholas Occurrentes“ organisierten Weltausbildungskongress, der gestern zum Abschluss kam.
Die teilnehmenden Kinder und Jugendlichen kamen aus verschiedenen Ländern, darunter Spanien, Brasilien, Argentinien, die Vereinigten Staaten und Indien.
Die 16-jährige Alicia, ein spanisches Mädchen mit Down-Syndrom, zeigte dem Papst voller Stolz eine Videokamera, die sie auf einem Videofilm-Kurs verwendet. Sie erzählte von ihrer Leidenschaft fürs Filmemachen. „Das macht so viel Spaß!“, sagte sie, worauf der Papst herzlich lachte.
Nach einem kurzen Wortwechsel nahm Alicia die Gelegenheit wahr, dem Papst eine persönliche Frage zu stellen: ob er wohl auch gerne Fotos mache und auf seinem Computer verarbeite?
Lächelnd antwortete der Papst: „Soll ich dir die Wahrheit sagen? Ich bin total unbegabt mit der Technik; mit Computern kann ich überhaupt nicht umgehen. Peinlich, oder?“
Juan Bautista, ein 14-jähriger autistischer Junge aus Buenos Aires, zeigte dem Papst, wie er durch sein Tablet Sprachen lernen und sich mit Spielen beschäftigen könne. Während er mit seinen Fingern die Form eines Herzens andeutete, sagte er, dass er sich freuen würde, den Heiligen Vater einmal in Rom zu besuchen. Nachdem der Papst ihm für seine Worte gedankt hatte, fragte der Junge, ob er auch ein Tablet besäße. Der Heilige Vater lachte und antwortete: „Nein, ich habe keins.“
Isaiah Bower und sein Klassenkamerad Taylor, beide aus Nebraska (USA), erklärten dem Papst, wie sie durch ein Schulungsprogramm ihre motorischen Fähigkeiten entwickeln lernen. Isaiah fragte den Papst, was er tue, wenn er sich in einer schwierigen Lage befinde.
„Als erstes“, antwortete Papst Franziskus, „versuche ich, mich nicht zu ärgern; es nützt nichts, sich zu ärgern; man muss ruhig bleiben. Und dann suche ich nach einem Weg, das Problem zu lösen. Und wenn ich es nicht lösen kann, dann muss ich es ertragen, bis sich eine Gelegenheit bietet, es zu lösen. Es gibt keinen Grund, vor Schwierigkeiten Angst zu haben, nie. Wir können über alle hinwegkommen. Alles was wir brauchen ist Zeit, um die Lage zu verstehen, den Verstand, um nach dem richtigen Weg zu suchen, und den Mut, weiterzumachen. Hab niemals Angst!“
Bevor er die Videokonferenz beendete, erinnerte der Heilige Vater die Jugendlichen an den Schatz, den jeder von ihnen in sich trägt. Papst Franziskus sagte, dieser Schatz könne nur wachsen, wenn er mit anderen Menschen geteilt werde.
„Was ich euch sagen will ist, dass ihr den Schatz, den jeder von euch in sich trägt, nicht versteckt halten dürft. Manchmal findet man diesen Schatz sofort, manchmal müssen wir erst Schatzsucher spielen, weil wir ihn nicht sofort erkennen. Doch wenn ihr ihn gefunden habt, dann teilt ihn mit den anderen, denn wenn ihr ihn teilt, erhält ihr ihn vermehrt zurück.“
Papst Franziskus beendete die Videochat mit den Worten: „Das ist es, was ich euch sagen wollte. Macht weiter so! Was ihr tut, genau an dem Ort, wo ihr seid, hilft uns allen, zu verstehen, dass das Leben ein kostbarer Schatz ist, der aber nur dann einen Sinn bekommt, wenn wir ihn weiterschenken.“
( 6. Februar 2015) © Innovative Media Inc.
- Viết bởi Anne Kurian
ROME, 6 février 2015 (Zenit.org) - La XXVIIe Assemblée plénière du Conseil pontifical pour les laïcs est en cours à Rome du 5 au 7 février 2015 sur le thème « Rencontrer Dieu au cœur de la ville ».
Les participants, venus du monde entier, aborderont ensemble les défis de l’évangélisation dans le contexte de l’urbanisation croissante : depuis l’année 2007, selon l'ONU, la population urbaine a dépassé celle des campagnes et en 2050 plus de 70% de la population mondiale vivra dans des centres urbains.
Les travaux ont été ouverts par le cardinal Stanislas Rylko, président du dicastère. Radio Vatican rapporte des extraits de son intervention, centrée sur la pastorale de la ville dans le magistère du pape François : « pour le pape, un aspect important de la pastorale urbaine est représenté par les pauvres des villes », a-t-il expliqué.
Il a cité les paroles adressées par le pape au diocèse de Rome le 31 décembre 2014 : « Une attitude de liberté chrétienne grande et quotidienne est nécessaire pour avoir le courage de proclamer, dans notre ville, qu’il faut défendre les pauvres et non se défendre contre les pauvres, qu’il faut servir les faibles et non se servir des faibles » (…) Dans une ville, quand les pauvres et les faibles sont soignés, secourus et qu’on les aide à progresser dans la société, ils se révèlent le trésor de l’Église et un trésor pour la société. »
Pour le cardinal Rylko, au centre de la vision de la ville du pape François, se trouve sa théologie du peuple : « Son projet pour la ville est de transformer l’ensemble des citoyens en un peuple. Le peuple n’est pas une masse amorphe, comme les habitants des mégapoles urbaines semblent parfois l’être, mais un ensemble organique de "citoyens responsables", comme dit le pape, "une harmonie multiforme". C’est un sujet collectif capable de générer des processus historiques propres. »
Le président du dicastère a également exprimé sa conviction que « toutes les crises, y compris la crise actuelle, sont un passage, un travail d’enfantement qui implique de la fatigue, des difficultés, des souffrances, mais qui porte en lui l’horizon de la vie, d’un renouveau, qui apporte la force de l’espérance ».
Pendant la matinée, plusieurs consulteurs du dicastère, venant du Moyen-Orient, ont présenté la situation actuelle des communautés chrétiennes au Liban, en Syrie et en Égypte.
Anne Kurian
- Viết bởi Constance Roques
ROME, 6 février 2015 (Zenit.org) - Le cardinal secrétaire d’État Pietro Parolin appelle les États de la région méditerranéenne à « une réponse commune », face « aux actions sans pitié ni scrupules des trafiquants d’êtres humains » auprès des migrants.
Le cardinal a fait parvenir un message aux 25 pays participants à la neuvième Session plénière de l’Assemblée parlementaire de la Méditerranée (APM), qui a eu lieu du 2 au 4 février 2015 dans la Principauté de Monaco.
Dans le message, rapporté par Radio Vatican, il transmet le vœu du pape « que les débats et les réflexions » de l’assemblée « puissent contribuer à une nouvelle culture de la rencontre entre tous les peuples de la région méditerranéenne ».
Le cardinal appelle les participants à « une réponse commune pour affronter les causes fondamentales de la migration », face « aux actions sans pitié ni scrupules des trafiquants d’êtres humains et à la migration clandestine ».
Évoquant l’instabilité politique en Afrique du Nord et les conflits en Irak et en Syrie, il déplore que l’année 2014 ait vu le « funeste phénomène de l’extrémisme et du terrorisme frapper les droits humains fondamentaux ».
Le Saint-Siège, souligne-t-il, « est particulièrement préoccupé par la question de la survie des minorités chrétiennes au Moyen-Orient » et « reconnaît que les musulmans aussi continuent de souffrir de la main de ceux qui justifient la violence et les massacres au nom de Dieu ».
« La violence au nom de Dieu ne peut jamais être justifiée », ajoute le cardinal, en appelant les chefs musulmans à condamner « sans équivoque » ces actes.
Pendant des millénaires « la Méditerranée a été un lieu de rencontre de cultures et de peuples », rappelle-t-il, invitant à œuvrer pour que cette zone redevienne un « lieu de rencontre, de respect mutuel et de cohabitation pacifique ».
Avec une traduction de Constance Roques
- Viết bởi Anita Bourdin
ROME, 6 février 2015 (Zenit.org) - Le pape François s'adressera au Congrès américain, à Washington, le 24 septembre, lors de son voyage aux Etats-Unis : une première dans l’histoire.
C’est ce qu’a annoncé le président républicain de la Chambre des représentants, M. John Boehner : une information confirmée jeudi soir par le Saint-Siège.
Une première historique
Les deux chambres du Congrès seront donc réunies solennellement, comme lors de la visite de dirigeants de pays amis et alliés des Etats-Unis.
Le pape avait été invité aux Etats-Unis en mars 2014 par John Boehner, un catholique, en accord avec la présidente des démocrates de la Chambre, Nancy Pelosi, également catholique.
Sur le vol Manille-Rome du 19 janvier, le pape François a évoqué les trois étapes de son voyage aux Etats-Unis: Philadelphie, pour la rencontre mondiale des familles qui a lieu du 22 au 27 septembre 2015, puis New-York (le pape parlera à la tribune de l’ONU) et Washington.
Jeudi, 5 février, le pape a également adressé un message aux participants « petit-déjeuner national de prière” annuel et oecuménique de Washington (National Prayer Breakfast), auquel participent traditionnellement le président des Etats-Unis, des parlementaires et quelque 2000 invités de 150 pays. La tradition a été lancée en 1953 par le pasteur méthodiste Abraham Vereide.
Message au "Breakfast"
Un extrait du message du pape François a été lu jeudi matin à la rencontre spécialement consacrée au Moyen Orient. En effet, plusieurs événements sont organisés à l’occasion du “Breakfast” pendant toute la semaine pour lancer des projets de solidarité, de développement et de promotion humaine.
Le pape exprime ses “vœux” et sa “prière pour la réussite” de leur travail. Il leur demande de prier pour lui et de se joindre à sa prière “pour nos frères et sœurs à travers le monde qui souffrent de persécution et meurent pour leur foi”.
“J’invoque sur vous, vos familles et ceux qui travaillent avec vous, de la part de Dieu sa bénédiction de sagesse, de joie et de paix”, dit encore le message du pape.
Une message qui est une pierre d'attente sur le chemin de Washington, New York et Philadelphie.
Anita Bourdin
- Viết bởi Anne Kurian
ROME, 6 février 2015 (Zenit.org) - « Je ne sais pas me servir d'un ordinateur: quelle honte ! », confie le pape à de jeunes handicapés, les encourageant à « ne pas s'effrayer face aux difficultés ». Il affirme que chacun est « capable de dépasser toutes [les difficultés], il faut seulement du temps pour comprendre, de l'intelligence pour trouver le chemin et du courage pour aller de l'avant ».
Le pape François a participé à la cérémonie de clôture du IVe Congrès mondial éducatif de "Scholas Occurrentes", qui a eu lieu du 2 au 5 février 2015 au Vatican, sur le thème "Responsabilité sociale éducative. Un engagement de tous les acteurs".
Le réseau international éducatif Scholas Occurrentes est né en Argentine, à Buenos Aires sous l'impulsion de Mgr Bergoglio alors archevêque. Institutionnalisé par l'Académie pontificale des Sciences, en 2013, il regroupe aujourd'hui 400 mille écoles, sur les 5 continents, qui échangent entre elles à travers le sport, l'art et la technologie.
Au cours de la rencontre avec les quelque 300 participants, dans la salle du synode du Vatican, le pape a échangé en liaison vidéo avec sept jeunes handicapés de divers endroits du globe – États-Unis, Amérique du sud, Afrique, Australie, Moyen-Orient.
Capables de dépasser toutes les difficultés
Durant le dialogue, le pape a confié à la jeune Alicia ses lacunes pour conduire les voitures et dans l'utilisation de la technologie : « Je ne sais pas me servir d'un ordinateur: quelle honte ! »
Isabel, non-voyante de 13 ans, aimant l'athlétisme, a demandé au pape de dire à qui ceux qui sont en difficulté de « ne pas abandonner, car avec un peu d'effort on peut arriver où l'on veut ».
Taylor a témoigné qu"il avait « rencontré beaucoup d'obstacles dans sa scolarité ». Le pape l'a encouragé à « ne pas s'effrayer face aux difficultés » car « nous sommes capables de toutes les dépasser, nous avons seulement besoin de temps pour comprendre, d'intelligence pour trouver le chemin et de courage pour aller de l'avant ».
« Lorsque vous communiquez, vous donnez le meilleur de ce qui est à l'intérieur de vous et vous recevez des autres ce qu'il ont de mieux à l'intérieur d'eux », a-t-il souligné pour le jeune Manosh.
Ouvrir l'écrin intérieur pour partager le trésor
« En vous tous, il y a un écrin et à l'intérieur, il y a un trésor. Votre travail est d'ouvrir l'écrin, d'en sortir le trésor, de le faire grandir, de le donner aux autres et de recevoir celui des autres. Chacun de nous a un trésor à l'intérieur. Si nous le laissons enfermé, il reste caché, si nous le partageons avec les autres, le trésor se multiplie avec les trésors qui viennent des autres », a déclaré le pape au terme de la visioconférence.
« Le pacte éducatif qui se fait en famille, à l'école, dans la patrie, dans la culture est rompu » dans la « crise de civilisation » actuelle, a-t-il fait observer aux participants : « la société comme la famille ou les diverses institutions délèguent l’éducation aux professeurs, qui généralement mal rémunérés portent cette responsabilité... ».
Pour reconstruire le pacte éducatif, il a proposé « la voie de la culture, du sport et des sciences pour construire des ponts » : « Scholas veut harmoniser le langage de la tête avec le langage du cœur et le langage des mains. Qu'une personne sache penser à ce qu'elle ressent et ce qu'elle fait ; qu'elle sache ressentir ce qu'elle pense et ce qu'elle fait ; qu'elle sache faire ce qu'elle sent et ce qu'elle pense. »
Retrouver les éléments fondateurs de sa culture
Il a exhorté à chercher l'harmonie, qui ne consiste pas à « parvenir à des compromis, à une capacité partielle de s'entendre » mais à « créer la capacité d'entendre les différences, d'accepter les différences, de valoriser les différences et de les laisser s'harmoniser ».
Pour atteindre l'harmonie, le pape a encouragé chaque nation à « chercher les éléments fondateurs dans sa tradition historique, populaire » : « La culture italienne, par exemple ne peut nier Dante comme fondement » et l'Argentine est marquée par l'oeuvre « Martin Fierro ».
Le jeu également est un élément important dans l'éducation : « Le Livre de la Sagesse dit que Dieu jouait, la sagesse de Dieu jouait. Redécouvrir le jeu comme chemin éducatif, comme expression éducative. L’éducation n'est pas seulement information, elle est créativité dans le jeu. Cette dimension ludique qui nous fait grandir dans la créativité et dans le travail ensemble. »
Enfin, le pape a encouragé à rechercher la beauté, présente dans les fondements des cultures à travers « l'art, la musique, la peinture, la sculpture, la littérature ».
Il avait déjà dialogué en visioconférence avec des étudiants de cinq pays des cinq continents à l'initiative de Scholas Occurentes en septembre 2014.
Anne Kurian
- Viết bởi (Fides) Redaktion
Rom, 5. Februar 2015 (//www.zenit.org/de/articles/
Noch vor Ende des Jahres 2015 wird die Marienbasilika der Diözese Ning Bo (Provinz Zhe Jiang), die bei einem Brand am 28. Juli 2014 verwüstet wurde, in neuem Glanz erstrahlen. Die Kirche wird nicht nur von den Katholiken wegen ihres historischen Wertes viel beachtet, sie gilt auch als Symbol der Stadt Ning Bo.
Das von Architekten, Archäologen und Vertretern der Katholischen Kirche am 26. Januar eingereichte Projekt für die Restaurierung der Basilika wurde vom chinesischen Ministerium für Kulturgüter gebilligt. Im Rahmen der Restaurierungsarbeiten soll die Kirche renoviert und der Turm und die Krypta mit dem Grab von Bischof Paul-Marie Reynaud MEP, Apostolischer Vikar von 1884 bis 1926, restauriert und die elektrische Anlage neu verlegt werden.
Der Brand war am 28. Juli kurz nach Mitternacht ausgebrochen und konnte erst nach drei Stunden von der einheimischen Feuerwehr gelöst werden. Gegen 5 Uhr morgens begannen die Gläubigen mit der Räumung und konnten dabei die Hostien retten, die unversehrt geblieben waren, obschon der Tabernakel vollkommen zerstört worden war.
Die 1872 im neogotischen Stil errichtete Basilika war Kathedrale des Apostolischen Vikariats Zhe Jiang. Sie wurde 1963 geschlossen und am 24. Dezember 1980 wieder eröffnet. 2006 wurde sie vom Staatsrat unter Denkmalsschutz gestellt. (NZ)
(Quelle: Fides, 04.02.2015)
( 5. Februar 2015) © Innovative Media Inc.
- Viết bởi Redaktion
Rom, 5. Februar 2015 (ZENIT.org) Redaktion
Das „Kleine Werk von der Göttlichen Vorsehung“ begeht den 75. Jahrestag seines Dienstbeginnes im Vatikan. Der heilige Luigi Orione (1842 - 1940) hatte die Kongregation gegründet. Am 1. Februar 1940 begannen die ersten fünf Mitglieder auf Wunsch des Gründers ihren Einsatz in der Telefonzentrale des Vatikans. Der damalige Präsident der Päpstlichen Kommission für den Staat der Vatikanstadt, Kardinal Canali, war mit seinem Anliegen, fünf sehr zuverlässige Geistliche dafür auszuersehen, an Don Orione herangetreten, wie dieser in einem Schreiben vom 27. Dezember 1939 vortrug. Die ersten Fünf hießen: Felice Bortignon, Guiseppe Controli, Giovanni Dalla Libera, Mattei Raffaele und Francesco Scarsoglio. Einer war für den Nachtdienst eingeteilt, zwei für den Früh- und wiederum zwei für den Nachmittagsdienst. „Das sind gute Söhne, die ein gutes und erbauliches Beispiel abgeben werden“, schrieb Don Orione. Es sei nur noch nicht entschieden, ob sie in weltlicher oder Klerikerkleidung ihren Dienst tun sollten.
Am 29. Januar 1940 erklärte er in einem Schreiben an Don Roberto Risi: „Solltest Du nach ihrer Vergütung gefragt werden, sage ihnen: Wir schätzen schon die Geste des Vertrauens hoch ein und sind dadurch, das Zeichen der Liebe und Hingabe an den Heiligen Vater setzen zu können, geehrt. Sie tun dann das, was sie glauben.“ In der Nacht des 31. Januar 1940 informierte Don Orione seine Mitbrüder: „Heute ist Don Sterpi nach Rom gegangen, um Eure fünf Brüder dem Vatikan vorzustellen, die morgen das Amt übernehmen werden.“
Der Telefon- und Postdienst erforderte zur damaligen Zeit während des Pontifikats Papst Pius XII. und während des Zweiten Weltkriegs ein besonders hohes Maß an Vertrauenswürdigkeit und Loyalität gegenüber dem Nachfolger Petri. Demütig nahm Don Orione den Auftrag an: „Das ist eine Geste des Heiligen Vaters, die uns nicht voll Stolz erfüllen soll, die uns aber inmitten vieler Sorgen trösten und auf die Dornen achten lassen soll. Gewiss, oh liebe Söhne der Göttlichen Vorsehung, war es ein großer Trost für mich.“ Er könne „nunc dimittis“ sagen. Sie seien nun aufgerufen, einen Akt von großer Loyalität, von Liebe, Hingabe und Dienst am Stellvertreter Christi unter Beweis zu stellen.
Der Vertrag zwischen dem Vatikan und der Kongregation besteht seit dem 10. Juni 1940, rückwirkend gültig für den 1. Februar desselben Jahres. Heute ist für diese Ämter Don Attilio Riva zuständig, der von Don Stefano Bortolato sowie von Bruder Antonio Francisco Porto dos Reis unterstützt wird. (mk)
( 5. Februar 2015) © Innovative Media Inc.
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