Tin Ngoại Ngữ
Tin Ngoại Ngữ
- Viết bởi VIS
(Vatican 2015-02-05) Pope Francis has sent a letter to the Presidents of Episcopal Conferences and Superiors of Institutes of Consecrated Life and Societies of Apostolic Life to ask for their complete co-operation with the Pontifical Commission for the Protection of Minors, in order to insure that everything possible is done to rid the Church of "the scourge" of the sexual abuse of children. Below is the English language translation of the Pope’s letter
Last March I established the Pontifical Commission for the Protection of Minors, which had first been announced in December 2013, for the purpose of offering proposals and initiatives meant to improve the norms and procedures for protecting children and vulnerable adults. I then appointed to the Commission a number of highly qualified persons well-known for their work in this field.
At my meeting in July with persons who had suffered sexual abuse by priests, I was deeply moved by their witness to the depth of their sufferings and the strength of their faith. This experience reaffirmed my conviction that everything possible must be done to rid the Church of the scourge of the sexual abuse of minors and to open pathways of reconciliation and healing for those who were abused.
For this reason, last December I added new members to the Commission, in order to represent the Particular Churches throughout the world. In just a few days, all the members will meet in Rome for the first time.
In light of the above, I believe that the Commission can be a new, important and effective means for helping me to encourage and advance the commitment of the Church at every level – Episcopal Conferences, Dioceses, Institutes of Consecrated Life and Societies of Apostolic Life, and others – to take whatever steps are necessary to ensure the protection of minors and vulnerable adults, and to respond to their needs with fairness and mercy.
Families need to know that the Church is making every effort to protect their children. They should also know that they have every right to turn to the Church with full confidence, for it is a safe and secure home. Consequently, priority must not be given to any other kind of concern, whatever its nature, such as the desire to avoid scandal, since there is absolutely no place in ministry for those who abuse minors.
Every effort must also be made to ensure that the provisions of the Circular Letter of the Congregation for the Doctrine of the Faith dated 3 May 2011 are fully implemented. This document was issued to assist Episcopal Conferences in drawing up guidelines for handling cases of sexual abuse of minors by clerics. It is likewise important that Episcopal Conferences establish a practical means for periodically reviewing their norms and verifying that they are being observed.
It is the responsibility of Diocesan Bishops and Major Superiors to ascertain that the safety of minors and vulnerable adults is assured in parishes and other Church institutions. As an expression of the Church’s duty to express the compassion of Jesus towards those who have suffered abuse and towards their families, the various Dioceses, Institutes of Consecrated Life and Societies of Apostolic Life are urged to identify programmes for pastoral care which include provisions for psychological assistance and spiritual care. Pastors and those in charge of religious communities should be available to meet with victims and their loved ones; such meetings are valuable opportunities for listening to those have greatly suffered and for asking their forgiveness.
For all of these reasons, I now ask for your close and complete cooperation with the Commission for the Protection of Minors. The work I have entrusted to them includes providing assistance to you and your Conferences through an exchange of best practices and through programmes of education, training, and developing adequate responses to sexual abuse.
May the Lord Jesus instil in each of us, as ministers of the Church, the same love and affection for the little ones which characterized his own presence among us, and which in turn enjoins on us a particular responsibility for the welfare of children and vulnerable adults. May Mary Most Holy, Mother of tenderness and mercy, help us to carry out, generously and thoroughly, our duty to humbly acknowledge and repair past injustices and to remain ever faithful in the work of protecting those closest to the heart of Jesus.
From the Vatican, 2 February 2015
Feast of the Presentation of the Lord
- Viết bởi Fondation Jérôme Lejeune
PARIS, 4 février 2015 (Zenit.org) - Une consultation citoyenne sur la proposition de loi Claeys-Leonetti est ouverte, depuis lundi matin, 2 février 2015 et jusqu’au 16 février 2015, sur le site de l’Assemblée nationale française, annonce la Fondation Jérôme Lejeune. Il s'agit d'une "Proposition de loi (n° 2512) créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie présentée par MM. Alain Claeys et Jean Leonetti".
Un décryptage de la Fondation Lejeune
Cette consultation inédite, lancée par le président de l’Assemblée nationale Claude Bartolone, a vocation à recueillir les avis des citoyens sur chacun des 11 articles de la proposition de loi. Ces avis seront versés au débat de la commission des affaires sociales qui examinera ce texte « les 17 et 18 février » prochains comme l’a annoncé C.Bartolone dans son communiqué de presse du 30 janvier.
Cette consultation est l’occasion de participer au débat sur la fin de vie alors que les parlementaires sont amenés pour la première fois en France à légaliser des gestes euthanasiques.
Vous trouverez ci-joint des éléments pour élaborer votre consultation à ce débat.
Pour contribuer au débat sur la fin de vie cliquez ici.
L’Assemblée nationale donne aux citoyens moins de 15 jours pour peser sur le débat de la fin de vie. Cette occasion démocratique est à saisir dès maintenant pour faire entendre la voix des plus vulnérables.
N’attendez plus et contribuez à la consultation citoyenne.
Pour plus d’information voici des décryptages et prises de paroles sur le sujet:
Le décryptage de Gènéthique sur la proposition de loi.
Les points de consensus sur la fin de vie évoqués à l’OPECST
Le témoignage de Béatrix Paillot, médecin gériatre.
La Tribune de Jean-Marie Le Méné « Vincent Lambert c’est nous ! » Valeurs actuelles 6-01-2015.
- Viết bởi Anita Bourdin
ROME, 4 février 2015 (Zenit.org) - Le conflit dans l'Est de l'Ukraine est "une violence fratricide entre chrétiens", dénonce le pape François qui interpelle les consciences: "Réfléchissez à ce scandale!"
Au terme de l'audience générale, le pape François a lancé, en italien, cet appel aux chrétiens d'Ukraine et à la Communauté internationale pour la reprise du dialogue en vue de la paix.
Voici l'appel du pape François dans notre traduction intégrale de l'italien. La première partie était prévue, la seconde, le pape l'a improvisée d'abondance du coeur.
"Une fois de plus, mes pensées vont au cher peuple ukrainien. Malheureusement, la situation est de pire en pire et le conflit entre les parties s'aggrave. Prions avant tout pour les victimes, dont de nombreux civils, et pour leurs familles, et demandons au Seigneur que cesse au plus vite cette violence fratricide horrible. Je renouvelle mon appel sincère afin que l'on fasse tous les efforts [possibles] - même au niveau international - pour la reprise du dialogue, seule voie possible pour rétablir la paix et la concorde dans ce pays martyrisé.
Frères et sœurs, quand j'entends les mots de "victoire" ou de "défaite" je ressens dans mon cœur une grande douleur, une grande tristesse. Ce ne sont pas les mots justes; le seul mot juste, c'est la "paix". Voilà le seul mot juste. Je pense à vous, frères et sœurs ukrainiens ... Mais réfléchissez! C'est une guerre entre chrétiens! Vous avez tous le même baptême! Vous vous battez entre chrétiens. Réfléchissez à cela, à ce scandale. Et prions tous, parce que la prière c'est notre protestation devant Dieu en temps de guerre."
Anita Bourdin
- Viết bởi Anne Kurian
ROME, 3 février 2015 (Zenit.org) - Le cardinal Turkson appelle de ses voeux « une action concertée, jusqu'à ce que l'esclavage et la traite n'existent plus » : c'est l'objectif de la première Journée internationale de prière et de réflexion contre la traite des personnes, qui aura lieu le 8 février 2015 sur le thème "Allume une lumière contre la traite".
La Journée, présentée ce mardi matin, 3 février, au Vatican, est promue par les Unions internationales des supérieurs et supérieures généraux (USG et UISG), sous le patronage de la Congrégation pour les Instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique, du Conseil pontifical pour la pastorale des migrants et des personnes en déplacement et du Conseil pontifical Justice et Paix.
Le cardinal João Braz de Aviz, préfet de la Congrégation pour les Instituts de vie consacrée, le cardinal Antonio Maria Vegliò, président du dicastère pour les migrants, le cardinal Peter Kodwo Appiah Turkson, président de Justice et Paix, Sœur Carmen Sammut, MSOLA, présidente de l’UISG et Sœur Gabriella Bottani, SMC, coordinatrice de Talitha Kum, ont participé à la présentation.
Sœur Valeria Gandini, missionnaire combonienne au service des femmes victimes de prostitution en Sicile, et Sœur Imelda Poole, IBVM, d’Albanie, présidente de ‘RENATE’, réseau européen contre la traite des personnes, ont également donné leur témoignage.
Le cardinal Turkson a expliqué que la Journée internationale contre la traite humaine était « une mobilisation de conscience et de prière à l'échelle mondiale » : « notre prise de conscience doit se développer et rejoindre les profondeurs-mêmes de ce mal et ses frontières les plus éloignées... de la prise de conscience à la prière... de la prière à la solidarité... et de la solidarité à une action concertée, jusqu'à ce que l'esclavage et la traite n'existent plus ».
Il a souligné que la prière contre le trafic devait être « toujours plus oecuménique, toujours plus interreligieuse », dans l'esprit de la Déclaration commune du pape François, de représentants de confessions chrétiennes et des grandes religions (hindouisme, bouddhisme, islam, judaïsme), signée le 2 décembre dernier.
Le cardinal a invité les croyants à devenir « plus véritablement frères et sœurs » en « se donnant les mains, dans la prière et dans l'action, pour éradiquer la traite des êtres humains et l'esclavage moderne ».
Le cardinal Turkson a aussi rappelé que le pape avait consacré son récent Message pour la Journée mondiale de la paix (1er Janvier 2015), à la traite des personnes : « Aujourd’hui encore des millions de personnes – enfants, hommes et femmes de tout âge – sont privées de liberté et contraintes à vivre dans des conditions assimilables à celles de l’esclavage », dénonçait-il.
Le pape ajoutait : « Nous sommes en face d’un phénomène mondial qui dépasse les compétences d’une seule communauté ou nation. Pour le combattre, il faut une mobilisation de dimensions comparables à celles du phénomène lui-même. »
Il donnait sainte Joséphine Bakhita comme « modèle d’espérance pour les victimes de l’esclavage, et pour soutenir les efforts de ceux qui se consacrent à la lutte » : « originaire de la région du Darfour au Soudan, enlevée par des trafiquants d’esclaves et vendue à des maîtres terribles dès l’âge de neuf ans, elle est devenue ensuite, à travers de douloureux événements, ‘‘libre fille de Dieu’’ par la foi vécue dans la consécration religieuse et dans le service des autres, spécialement des petits et des faibles. »
Anne Kurian
- Viết bởi Anita Bourdin
ROME, 3 février 2015 (Zenit.org) - Dès aujourd'hui vous pouvez allumer symboliquement en ligne une lumière contre la traite des personnes sur le sitehttp://a-light-against-human-trafficking.info/, pour soutenir les religieuses du monde engagées contre la traite des êtres humains , à l'occasion de la Journée mondiale de prière et de sensibilisation contre la traite des êtres humains, qui sera célébrée pour la première fois le 8 février prochain, en la fête de sainte Joséphine Bakhita (1869 - 8 février 1947),
Les religieuses qui ont présenté cette initiative au Vatican ce 3 février, entourées de trois cardinaux, chefs de dicastères romains, proposent aussi d'autres moyens de lutter contre ce que le pape François a appelé un "crime contre l'humanité".
La première Journée mondiale sera une mobilisation des réseaux de réseaux. Elles soulignent d'où vient cette mobilisation: "C'est l'oeuvre de Dieu, pas la nôtre".
"Nous aimerions compter sur vous pour les très grands besoins en ressources humaines et matérielles afin de renforcer Talitha Kum en tant que Réseau des religieuses contre la traite des personnes", disent les soeurs sur le site Talitha Kum.
Les soeurs invitent à les rejoindre dans leur lutte "contre les loups", prédateurs d'êtres humains et elles s'adressent aux "clients" de la rpostitution, en particulier les jeunes, pour les sensibiliser à cet esclavage dont ils sont complices. Elles travaillent en réseau avec les polices et la justice, mais aussi les structures sanitaires.
Au moment où nous écrivons, de France, il n'y a qu'une lumière, allumée par Zenit… Le Canada est en avance. On attend la Belgique (on se souvient du grand engagement du défunt roi Baudouin), le Luxembourg, la Suisse. Et bien sûr les pays francophones d'Afrique d'où viennent tant de victimes.
Les soeurs souligne que "sans la prière" on n'arrive à rien et elles demandent de les rejoindre dans la prière à cette attention.
Elles indiquent trois moyens de les aider et d'aider ceux qu'elles arrachent à l'esclavage: briser le silence, promouvoir une culture de la vie et du respect de chaque personne, et s'engager à partager ces informations.
Cinq gestes concrets
Les soeurs proposent de s'engager à leurs côtés par la prévention, l'hospitalité, l'action de terrain, le soutien financier et en plaidant la cause.
La prévention
"Vous joindre à nous dans nos initiatives de prévention afin d'élever le niveau de conscience des gens sur cet esclavage d'aujourd'hui que représente la traite des personnes, être informé et partager cette information avec les autres."
L'hospitalité
"Offrir hospitalité et solidarité aux émigrés et réfugiés…» dans les paroisses et dans les centres communautaires (Benoît XVI Message sur la 9e Journée mondiale des émigrés et réfugiés, 2010) qui pourraient être vulnérables à la traite ou pourraient avoir survécu à la traite et à l'esclavage."
Agir
"Participer aux activités qui ont pour but l'assistance et la protection contre la traite des personnes promue par chacun des membres du réseau."
Plaider la cause
"Aidez-nous par les lobbys et les plaidoyés au niveau national et international ou même sur le terrain de l'ONU."
Un don
"Faites-nous parvenir vos dons pour les activités du réseau."
Anita Bourdin
- Viết bởi Rocío Lancho García
Vatikanstadt, 3. Februar 2015 (ZENIT.org) Rocío Lancho García
Der Päpstliche Rat für die Kultur beschäftigt sich bei seiner am Mittwoch beginnenden Vollversammlung vier Tage lang mit der Rolle der Frau in der Kirche. „Weibliche Kulturen zwischen Parität und Verschiedenheit“ lautet das Motto. Die vom Papst ernannten Mitglieder und Berater werden Fragen nachgehen wie: Welche Positionen werden für Frauen in der Kirche vorgeschlagen? Welchen Typ Frau sucht die Kirche von heute? Was sind die Besonderheiten des Engagements von Frauen in verschiedenen Gesellschaften und Kulturen?
An der Präsentation des Programms am Montag nahmen Kardinal Gianfranco Ravasi, Präsident des Päpstlichen Rates für die Kultur,ebenso teil wie die Präsidentin der italienische Sendeanstalt RAI, Anna Maria Tarantola, die Chefin der RAI News 24, Monica Maggioni, sowie die Schauspielerin Nancy Brilli. Die Tagung ist in vier Sitzungsrunden unterteilt, darunter zu den Themen: „Zwischen Parität und Verschiedenheit: Auf der Suche nach einer Balance“ sowie „Der weibliche Körper: Zwischen Kultur und Biologie“ und „Frauen und Religion: Flucht oder neue Formen der Teilhabe im Leben der Kirche“.
Mit dem Hashtag #lifeofwomen ist es möglich, diesem Ereignis auf den Sozialen Netzwerken zu folgen. Für Mittwoch ist auch eine öffentliche Veranstaltung in Rom im Teatro Argentina geplant: 50 Minuten Videos, kurze Interviews, Lesungen und Live-Musik.
Kardinal Ravasi hat einige Lesungen auf dem Kongress angeboten. Er erläuterte, dass der Begriff „Frauenkultur“ nicht dazu gedacht sei, um sie von den Männern zu trennen. Vielmehr reflektiere dies das Bewusstsein, dass es einen Blick auf die Welt und alles, was uns umgibt, auf das Leben und auf die Erfahrung gibt, der nur Frauen zu eigen ist. Es gebe den Wunsch, im Anschluss daran eine ständige Frauenberatung, angeschlossen an sein Dikasterium, zu errichten.
Anna Maria Tarantola fügte hinzu, dass die Kongressteilnehmer versuchen werden, über die Rolle der Frau in der heutigen Welt und in der Kirche zu reflektieren, sowie über deren spezifischen Beitrag aufgrund ihrer Besonderheiten und Kompetenzen.
„Es gibt Studien, die darauf hinweisen, dass Frauen sich in Krisen anpassungsfähiger zeigen“, sagte sie. Gleichstellung bedeute nicht Gleichmacherei von Modellen. Sie bekräftigte, dass alle Menschen an Würde gleich sind, zugleich aber Frauen über Eigenschaften verfügen, die sie vom Mann unterscheiden.
Ein provokativer Vergleich, der bei der Pressekonferenz herauskam, war die Bezeichnung „Burka aus Fleisch“ für kosmetische Chirurgie im Vorbereitungsdokument. Die Kritik richtet sich gegen ein gleichmacherisches Schönheitsideal, das Werbung und Medien vermittelten und die Wahlfreiheit der Frauen letztlich einschränke. Kardinal Ravasi verteidigte den Vergleich mit der Erklärung, dass beiden Praktiken, das Tragen der Burka sowie Schönheits-OPs, eine degenerative Dimension teilten. (mk)
( 3. Februar 2015) © Innovative Media Inc.
- Viết bởi Britta Dörre
Rom, 3. Februar 2015 (ZENIT.org) Britta Dörre
Der Kampf gegen den Menschenhandel zählt mit zu den wichtigsten Betätigungsfeldern des Vatikans. Papst Franziskus verurteilt in seinen Predigten, Ansprachen und Tweets immer wieder die Versklavung und Ausbeutung von Menschen und appelliert an das Gewissen der Allgemeinheit.
Am 8. Februar 2105 wird der erste internationale Tag des Gebets und der Reflexion gegen den Menschenhandel stattfinden, und zur Vorbereitung darauf fand heute vormittag im Pressesaal des Vatikans eine Pressekonferenz statt. An der Konferenz nahmen Kardinal João Braz de Aviz, Präfekt für die Institute geweihten Lebens und die Gemeinschaften apostolischen Lebens, Kardinal Antonio Maria Vegliò, Präsident des Päpstlichen Rates für die Seelsorge der Migranten und Menschen unterwegs, Kardinal Peter Kodwo Appiah Turkson, Präsident des Päpstlichen Rates für Gerechtigkeit und Frieden, Schwester Carmen Sammut, MSOLA, Präsidentin der internationalen Vereinigung der Superiorgeneralinnen (UISG) und Vertreterin der Vereinigung der Superiorgeneralinnen (USG) sowie Schwester Gabriella Bottani, SMC, Koordinatorin von Talitha Kum teil. Während der Pressekonferenz kamen außerdem Schwester Valeria Gandini, SMC, aus Palermo und Schwester Imelda Poole, IBVM, Koordinatorin des europäischen Netzwerks von Talitha Kum in Albanien zu Wort.
Kardinal Peter Kodwo Appiah Turkson wies in seiner Ansprache auf die Millionen Menschen hin, Frauen, Männer und Kinder jedes Alters, die in Sklaverei lebten. Papst Franziskus unterstreiche immer wieder den globalen Charakter des Problems, das eine Mobilisierung auf globaler Ebene erfordere. Ein Zeichen in dieser Richtung sei der erste internationale Tag gegen den Menschenhandel. Ein weiterer Schritt sei am 2. Dezember 2014 die gemeinsame Erklärung der religiösen Oberhäupter gegen die Sklaverei gewesen.
Schwester Carmen Sammut, MSOLA berichtete über die Arbeit von Talitha Kum und den Einsatz für die Menschenwürde und -rechte. Tausende Kinder, Männer und Frauen würden zu Opfern der Sklaverei, der Prostitution und des Organhandels. Die Opfer erführen Unterstützung und Betreeung in den Zentren, um ihnen die Reintegration in die Gesellschaft ermöglichen zu können. Die religiösen Gemeinschaften hätten sich zusätzlich zu einem Netzwerk verbunden, das gegen den Menschenhandel vorgehe.
Eines der Netzwerke sei Talitha Kum, dem 24 Netzwerke in 81 Ländern angehörten. Ihr Ziel sei es, Hoffnung zu schenken. Nicht aus Zufall falle der Gebetstag auf den 8. Februar, dem Fest der heiligen Bakhita. Allein Zusammenarbeit, Prävention und Schutz der Opfer bezeichnete Schwester Carmen Sammut als unzureichend, erforderlich seien zusätzlich eine entsprechende Gesetzgebung und die Anwendung der Gesetze.
Schwester Gabriella Bottani, SMC präsentierte anschließend das Programm, das für den 8. Februar vorgesehen ist und unter der Seite www.a-light-against-human-trafficking.info abgerufen werden kann. Sie betonte, dass viele religiöse Gemeinschaften und Laien bereits seit langem im Kampf gegen den Menschenhandel engagiert seien. Der 8. Februar stelle eine wichtige Etappe ihrer Arbeit dar.
Schwester Valeria Gandini, SMC berichtete aus ihrem Alltag bei der Betreuung missbrauchter und ausgebeuteter Frauen, die Opfer des Menschenhandels und der Prostitution sind. Während ihrer 20jährigen Tätigkeit im Caritaszentrum in Verona hatte sie Gelegenheit, viele Frauen auf ihrem Weg zu begleiten. Alle Frauen hätten um Gebet und Verständnis gebeten und des Zuhörens, der Aufnahme und einer normalen Arbeit bedurft. Beeindruckt habe sie stets der Wunsch der Frauen, für ein besseres Leben und Hoffnung ihrer Familien zu kämpfen und sich dafür sogar selbst zu opfern.
Seit fünf Jahren arbeite sie in Palermo. Im letzten Jahr seien 150.000 Immigranten auf der Insel gelandet. Der Menschenhandel von Frauen aus Nigeria habe um 335 Prozent zugenommen. Die Straßenprostitutierten würden immer jünger. Sie lebten in ständiger Angst. Schwester Valeria Gandini stellte auch die kritische Frage nach den Klienten der blutjungen Mädchen, „unseren Großvätern, Ehemännern, Freunden, Söhnen, Brüdern“.
Die Caritas in Palermo betreue die Mädchen psychologisch, mit einer Rechtsberatung und durch Zuhören. Sie suchten die Mädchen in den Straßen auf, um mit ihnen eine dauerhafte und freundschaftliche Bindung aufzubauen und mit ihnen zu beten. Wie Papst Franziskus gefordert habe, dürften die Menschen nicht die Augen vor dem Leid und der Not der Opfer des Menschenhandels verschließen.
Schwester Imelda Poole, IBVM berichtete vor allem über die Situation in Albanien und die Arbeit von Talitha Kum. Das Land sei von großer Armut geprägt, und häusliche Gewalt sei ein weit verbreitetes Phänomen. Ihr Einsatz gelte vor allem dem Bildungsbereich und unterstütze junge Frauen bei der Existenzgründung. Auf Mißstände aufmerksam zu machen, das Schweigen zu brechen und den Opfern des Menschenhandels eine neue Zukunft zu schenken, bezeichnete Schwester Imelda Poole als eines der Hauptanliegen.
( 3. Februar 2015) © Innovative Media Inc.
Britta Dörre
- Viết bởi Pape Francois
ROME, 2 février 2015 (Zenit.org) - "S’abaisser en se faisant serviteur pour servir", comme le Christ, voilà la source de la joie des consacrés, explique le pape François.
Le pape a en effet présidé à Saint-Pierre, ce 2 février, à 17h30, la messe de la Présentation de l'Enfant Jésus au Temple de Jérusalem, une fête qui est aussi l'occasion de la Journée mondiale de la vie consacrée. Le pape était entouré de milliers de personnes consacrées présentes à Rome.
Le pape a proposé une homélie centrée notamment sur un des trois conseils évangéliques qui marquent la vie consacrée: l'obéissance, la docilité spirituelle à l'Esprit Saint.
Une obéissance et une docilité "concrètes" qu'il décline en quatre points: "docilité et obéissance à un fondateur, docilité et obéissance à une règle concrète, docilité et obéissance à un supérieur, docilité et obéissance à l’Église".
Il a insisté sur le chemin du service comme source de "sagesse" dans l'Esprit Saint: "Pour un religieux, progresser c’est s’abaisser dans le service. Un chemin comme celui de Jésus (...). S’abaisser en se faisant serviteur pour servir."
Pour le pape, c'est l'origine de la "joie": "La joie du religieux est la conséquence de cette voie d’abaissement avec Jésus…"
"La revitalisation et le renouveau de la vie consacrée se produisent à travers un grand amour de la règle et aussi à travers la capacité à contempler et à écouter les personnes âgées de la congrégation", explique le pape François. Commentant l'Evangile de la Présentation au Temple, le pape a insisté sur les deux vieillards Siméon et Anne: ce sont eux, dit le pape, les "créatifs".
Au contraire, il y a une "caricature" de la vie consacrée dont le pape signale 5 symptômes: quand "on vit une « sequela » sans renoncement, une prière sans rencontre, une vie fraternelle sans communion, une obéissance sans confiance, une charité sans transcendance".
Les intentions de la prière universelle ont été dites en tamil, en chinois, en anglais, en tagalog (Philippines), en swahili.
Pape Francois
- Viết bởi Anne Kurian
ROME, 2 février 2015 (Zenit.org) - Les femmes « ne veulent pas être cardinaux », mais elles veulent « prendre part à la création de quelque chose de nouveau » dans l’Église, estime l'actrice italienne Nancy Brilli qui témoigne d'avoir décidé de s'engager pour sa foi après une rencontre avec le pape François.
L'Assemblée plénière du Conseil pontifical pour la culture, prévue du 4 au 7 février sur le thème "Les cultures féminines entre égalité et différence", a été présentée ce lundi matin, 2 février 2015. Les intervenants étaient le cardinal Gianfranco Ravasi, président du dicastère, Mme Anna Maria Tarantola, présidente de la télévision italienne RAI, Mme Monica Maggioni, directrice de Rai News 24, Mme Consuelo Corradi, professeur de sociologie, pro-recteur de l’Université LUMSA de Rome et Nancy Brilli.
En tant que « femme, professionnelle, mère », Nancy Brilli s'est réjouie de « l'ouverture du Vatican » en faveur de la femme, aussi exprimée dans les prises de paroles du pape François.
« On ne sait quels seront les divers rôles » des femmes, qu'il reste à « inventer, à créer selon les désirs et les besoins », a-t-elle fait observer : « l'important est de prendre part à ce travail », c'est-à-dire d'apporter « son vécu, sa connaissance, sa profession, sa volonté d'ajouter quelque chose ».
L'actrice ressent aujourd'hui « le besoin d'une spiritualité renouvelée » : « Je ne crois pas que les femmes qui ont [participé à la préparation] veulent être cardinaux, mais elles veulent prendre part au discours, à la création de quelque chose de nouveau, qui n'est pas encore, et qui viendra grâce à cette ouverture totalement nouvelle et contemporaine. »
Nancy Brilli a témoigné de son « année très particulière » : « J'ai rencontré le pape, j'ai vécu une rencontre très profonde qui m'a fait rechoisir ma religion ». Depuis, elle exprime sa volonté de « se mettre en jeu » pour sa foi.
Il s'agit de parler à découvert, y compris par les moyens de communication actuels, sur les réseaux sociaux, où les croyants sont appelés à « collaborer de façon constructive » en « s'ouvrant aux rencontres », car « le dialogue est fondamental » et « ce qui est bien dit est écouté ».
Consuelo Corradi est revenue sur les quatre thèmes autour desquels s'articulera l'Assemblée plénière :
1) Entre égalité et différence : à la recherche d'un équilibre : « La parité n'est pas l'homologation », a-t-elle expliqué. Le parcours doit donc considérer « les deux mots, égalité et différence, pas seulement l'un des deux ».
2) La "generativité" comme code symbolique : Les organisateurs n'ont pas choisi le terme « maternité », qui est compris dans le terme « générativité », a précisé Consuelo Corradi : « même les femmes qui ne sont pas mères – comme les religieuses – ont une grande "générativité". »
3) Le corps féminin : entre culture et biologie : Le corps de la femme est « un lieu physique célébré dans l'histoire de l'art », notamment « pour célébrer la beauté, plus que le corps masculin », a-t-elle fait observer.
4) Les femmes et la religion : fuite ou nouvelles formes de participation à la vie de l’Église ? Il s'agira de se poser ces questions : « Quels espaces aujourd'hui pour la femme dans l'Eglise ? Quel type de femmes est nécessaire à l’Église aujourd'hui ? ».
L'Assemblée plénière n'est pas circonscrite aux frontières italiennes mais se veut « un dialogue avec des femmes du monde », a ajouté Consuelo Corradi en soulignant que le dicastère pouvait apporter « l'expérience de femmes non-occidentales ».
Anne Kurian
- Viết bởi Anne Kurian
ROME, 2 février 2015 (Zenit.org) - Le pape François recommande de « valoriser l'agriculture », notamment par « des choix politiques et économiques concrets ».
« Il n'y a pas d'humanité sans culture de la terre », a affirmé le pape qui a reçu en audience les dirigeants de la Confédération nationale des cultivateurs italiens (Coldiretti), au Vatican, samedi 31 janvier 2015.
Il a donc souhaité que l'agriculture soit valorisée : « l’œuvre de ceux qui cultivent la terre, lui consacrant généreusement temps et énergie, se présente comme une vraie et particulière vocation. Elle mérite d'être reconnue et valorisée en conséquence, y compris dans des choix politiques et économiques concrets. »
Il s'agit notamment d'« éliminer les obstacles qui pénalisent une activité si précieuse et qui souvent la font apparaître peu attractive aux nouvelles générations », a-t-il précisé.
Le pape a aussi appelé à s'opposer au détournement « trop répandu » des terres agricoles pour « d'autres activités plus rentables en apparence ». Il a dénoncé la « domination du dieu argent » : « Comme ces personnes qui n'ont pas de sentiments, qui vendent leur famille, leur mère, ici la tentation est de vendre la terre mère. »
Il a également exhorté à « repenser profondément le système de production et de distribution de la nourriture », face à un système économique qui « exclut » une « vaste partie de l'humanité » du bénéfice des biens de la terre.
Le pape a condamné « l'absolutisation des règles du marché, la culture de l'exclusion et du gaspillage » : « on ne plaisante pas avec le pain » qui participe « à la sacralité de la vie humaine », et pour cela « ne peut pas être traité seulement comme une simple marchandise », a-t-il insisté.
« Quand j'étais petit, je me souviens que quand du pain tombait par terre, on nous apprenait à le prendre, à l'embrasser et à le remettre sur la table », a raconté le pape.
Anne Kurian
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