Tin Ngoại Ngữ
Tin Ngoại Ngữ
- Viết bởi Constance Roques
ROME, 27 mars 2015 (Zenit.org) - Le président Barack Obama et son épouse Michelle Obama recevront le pape François à la Maison-Blanche le 23 septembre 2015, dans le cadre de son voyage apostolique aux Etats-Unis, annonce le porte-parole de la Maison-Blanche, Josh Earnest, le 26 mars.
« Au cours de la rencontre, le président et le pape poursuivront le dialogue qu’ils ont entamé lors de la visite du président au Vatican en mars 2014, sur leurs valeurs et engagements communs sur un large éventail de questions » a indiqué le porte-parole.
Parmi les sujets qui devraient être abordés figurent le souci des pauvres, l’environnement, la protection des minorités religieuses, la liberté religieuse et la situation des immigrants et des réfugiés.
« Le président se réjouit de poursuivre cette conversation avec le Saint-Père à l’occasion de sa première visite en tant que pape aux États-Unis », conclut le communiqué.
Le lendemain de cette rencontre, le 24 septembre, le pape François prononcera un discours devant le Congrès américain. Ce sera la première fois dans l’histoire des États-Unis qu’un pape s’adresse au Congrès.
Le 25 septembre, le pape se rendra à New York où il prononcera un discours devant l’Assemblée générale des Nations Unies. Il conclura sa visite à Philadelphie où il participera à la Rencontre mondiale des familles.
Traduction de Constance Roques
- Viết bởi Anne Kurian
ROME, 27 mars 2015 (Zenit.org) - « La vie est un trésor précieux, mais nous le découvrons seulement si nous la donnons aux autres », écrit le pape François dans un tweet ce 27 mars 2015. Un encouragement qu'il a formulé à diverses reprises depuis son élection.
Lors de l'une de ses premières messes du matin à Sainte-Marthe, il avait invité à « vivre la vie comme un don à donner » et non pas comme « un trésor à conserver ». Car l’égoïsme « isole la conscience » et l’homme finit par tomber dans le piège de Satan, qui « arnaque toujours », avait-il mis en garde le 14 mai 2013.
« Il y a quelqu’un, Jésus Christ, pour lequel il vaut la peine de donner sa vie », a-t-il déclaré lors de l'audience générale du 20 août 2014.
Plus récemment, le 7 janvier dernier, il a cité l'archevêque salvadorien Mgr Oscar Romero pour expliquer ce qu'était le « don de sa vie », sur le modèle de la maternité : « donner sa vie, avoir l'esprit du martyr, c'est se donner dans le silence de la vie quotidienne, dans la prière, dans l'accomplissement honnête du devoir ; donner sa vie peu à peu, comme une mère ».
La communion avec le Seigneur conduit à « l'imiter », en faisant de sa vie « un pain rompu pour les autres » c'est-à-dire « en faisant de sa vie un don ». Cela se traduit en « comportements généreux envers le prochain », a-t-il expliqué à l'angélus du 22 juin 2014.
Il s'agit « d'aimer non pas selon la mesure humaine, toujours limitée, mais selon la mesure de Dieu », qui est « sans mesure », a poursuivi le pape : « aimer même celui qui ne nous aime pas, nous opposer au mal par le bien, pardonner, partager, accueillir ».
Anne Kurian
- Viết bởi Constance Roques
ROME, 27 mars 2015 (Zenit.org) - Le pape François se rendra à Florence, en Toscane, à l’occasion du Congrès ecclésial national, le mardi 10 novembre 2015, annonce le communiqué final de la session de printemps du Conseil permanent de la conférence épiscopale italienne (CEI), ce 27 mars.
Au cours de la même journée, le pape visitera aussi Prato, une ville industrielle caractérisée par la présence de 20.000 ouvriers chinois pour une population de 190.000 habitants.
Le programme des deux visites a été présenté ce jour par le cardinal Giuseppe Betori, archevêque de Florence, et par Mgr Franco Agostinelli, évêque de Prato, lors des deux conférences de presse qui se sont tenues dans leurs diocèses respectifs.
Le pape François arrivera en hélicoptère à Prato le matin vers 7h50. À 8h15 il rencontrera le monde du travail, sur la place de la cathédrale, où il prononcera son premier discours.
À 9h15, il rejoindra en hélicoptère le stade « Luigi Ridolfi » de Florence, pour arriver vers 10h à la cathédrale où il rencontrera les participants au Vème Congrès ecclésial de l’Église italienne et prononcera son second discours.
À 12h, le pape rencontrera les malades dans la basilique de la Très-Sainte-Annonciation et déjeunera avec les pauvres à la cantine Saint-François-le-Petit-Pauvre, adjacente à la basilique.
À 15h30 aura lieu la célébration de la messe au stade « Artemio Franchi ». À 17 heures, le pape quittera Florence à bord de l’hélicoptère en direction du Vatican, où il atterrira à 18 heures.
« Nous accueillons avec une très grande joie la nouvelle de la venue du Saint-Père à Prato, a déclaré Mgr Agostinelli. Tout notre diocèse est en fête pour cet événement qui marquera notre histoire : vraiment, Pierre visitera notre Église et nous confirmera dans la foi ».
« Grande joie », exprimée aussi par le cardinal Giuseppe Betori qui a souligné deux aspects « très importants » de la visite pastorale du pape François : en premier lieu, « en rencontrant les 2.300 délégués du Congrès ecclésial national – évêques, prêtres, religieux, religieuses et laïcs - c'est-à-dire ceux qui représentent l’Église italienne, nous pourrions dire qu’il rencontre la ‘base’ ».
Le pape aura aussi « une rencontre avec la réalité florentine sur tout son territoire : il rencontrera l’identité même de Florence, dans le lieu où l’identité civile et religieuse de Florence a son origine, son baptistère et sa cathédrale. Il rencontrera son histoire, son visage religieux qui est sa racine mariale, dans la chapelle de la Santissima Annunziata, où il récitera l’angélus avec les personnes handicapées. Il rencontrera aussi l’âme caritative de Florence, depuis longtemps capable de prendre en charge la pauvreté de tous. Il rencontrera aussi l’art », a-t-il énuméré.
Le cardinal a précisé que « le pape n’est jamais venu à Florence ». C’est le cardinal Bergoglio lui-même qui le lui a confié, lors d’une séance de préparation au conclave : « Devant la Chapelle Sixtine, il m’a dit : "Florence est la ville de la beauté, je ne suis jamais allé Florence. Il faut que je vienne." »
Traduction de Constance Roques
- Viết bởi Vatican Radio
(Scampia 2015-03-21) Pope Francis has spoken out against the ‘stink of a corrupt society’ that leaves young people pray to exploitation in the workplace, marginalizes immigrants and corrodes hope in society.
Continuing his whirlwind trip to Pompeii and Naples, Pope Francis on Saturday morning arrived in Scampia, an impoverished neighourhood close to Naples where he received a rapturous welcome from the community there in John Paul II Square. It is an area, which Cardinal Cresenzio Sepe described in his address to the Pope during this visit, as a suburb of Naples, which despite its many problems is rich in resources, especially the Parishes that are committed to spreading the Gospel.
The Holy Father heard from three representatives who included Corazon, an immigrant from the Philippines. She told the Pope she was speaking on behalf of those from his community that are immigrant those who are homeless and he asked Pope Francis to be an authentic voice them.The Pope also heard from Michele, who spoke to him about the despair of those who can’t find work. He told the Holy Father there are less and less people in his community who have a job before adding that, “we need to believe in the sacredness of work.”
Speaking on behalf of the Prosecutors of Naples, Antonio Bonajuto, President of the Court of Appeal of Naples addressed the Pope describing the effects of corruption in society there saying, “it invalidates public ethics and generates juvenile delinquency, despair and death.” He then appealed to Pope Francis saying, “Indicate to us, Your Holiness, a path of hope to sustain the commitment of all those who pursue law and justice… To these three speakers the Pope offered words of hope and encouragement. Below a Vatican Radio translation of Pope Francis’ responses:
A heritage of hope in the face of evil
"I wanted to start my visit to Naples from here from this periphery. I greet you all and thank you for your warm welcome! We can really see that Neapolitans are not cold people"
"You belong to a people with a long, complex and dramatic history. Life in Naples has never been easy, but it has never been sad! This is your greatest asset. Daily life in this city, with its difficulties and its hardships and sometimes its trials, produces a culture of life that always helps people to pick themselves up again after every fall, and to ensure that evil never has the last word. This is a beautiful challenge: no, never let evil have the last word. It is this hope, as you well know, this great heritage, this ‘raising of the soul', which is so precious, but also exposed to assaults and theft. We all know, those who voluntarily take the path of evil steal a piece of hope, earn a little something but steal hope from themselves, from others, from society. The path of evil is one that always steals hope and also robs honest and hardworking people, as well as the good reputation of this city, it
We are all immigrants
Responding to the words of a Filipino immigrant, the Pope said: "I would like to speak to the sister who spoke on behalf of immigrants and the homeless. She asked for a word to ensure that migrants are children of God and citizens. But must we arrive at this point? Are migrants second-class humans? We have to feel that our migrant brothers and sisters are citizens, are like us, God's children, they are migrants like us, because we are all migrants bound for another country, no? And maybe we will all get there?
And nobody will be lost on the way! We are all immigrants, all children of God, children of God who has put us all on a journey, everyone. You cannot say: 'But migrants are like this ... We are not. .. '. No! We are all immigrants, we are all on a journey, everyone. And this word is not written in a book, that we are all migrants; it is written in our flesh, eh? In our flesh, in our way of life, and it assures us that in Jesus that we are all children of God, loved children, wanted children, saved children. Think of that! We are all immigrants on the journey of life. None of us have a fixed abode in this land! We all have to leave. And all we have to leave to find God! One before and the other after, or as that old man said, that crafty old man: 'Yes, yes, all! You go on ahead, I will go last! '. All of us, all, we all have to leave”.
The battle against black market labor
Responding to the words of an unemployed man, the Pope said: "Then there were the words of the worker. And I also thank him, because of course I wanted to touch this point, which is a negative sign of our times. Especially the lack of jobs for young people. But you think young people aged 25 years and under, more than 40 percent have no work! But this is serious! What does a young unemployed person do? What is the future? What path can they choose in life? And this is a responsibility not only of the city, not only of the country, but the world! Why? Because there is an economic system that is denying people and now it is the young people’s turn to be discarded, that is without jobs. And this is serious! Why? - 'But father, there are the works of charity, there are voluntary services, there is Caritas, there is this center, there's that club, which feeds ... '.
But the problem is not eating, the most serious problem is that it does not give them the chance to bring the bread home, to earn it! And when you do not earn your daily bread, you lose your dignity! And this lack of work steals dignity. We have to struggle with this, we have to defend our dignity as citizens, men, women, youth. And this is the drama of our time. We must not remain silent. And also part-time work. What do I mean by this? The exploitation of people in the workplace! A few weeks ago, a girl who needed work found a job in a tourist agency and these were the conditions: 11 hours of work, 600 Euros per month with no contribution for her pension. 'Oh, but it's just 11 hours! If you do not like it, look at the queue of people who are waiting for the job! '. This is called slavery, this is called exploitation, this is not human, this is not Christian. And if the person who does this says he is Christian, he is a liar, it is not true, he is not Christian. Even the exploitation of black market labor, where you make people work without a contract, with nothing, and you pay them what you want, this is exploitation of people. Without contributions for their pension or healthcare: 'Ah, I do not care'. I understand you well, brother, I understand you well and thank you for saying what you said. We must resume the fight for our dignity, which is the struggle to seek, to find, to rediscover opportunities to bring home the bread! This is our battle".
The stink of corruption
Finally responding to the words of an Appeals Court prosecutor, the Pope said: "He used a beautiful expression 'path of hope' and remembered a saying of St. John Bosco: 'good Christians and honest citizens', aimed at children and young people. The path of hope for the children, those who are here and everyone is first and foremost that of education, but a real education, the path to educate for a future, and this prevents and helps people to move forward. But he said a word in passing that I would like to take up, a word that is used a lot today, the judge said 'corruption', 'corruption'. But, tell me, if we close the door to immigrants, if we take away people’s work and their dignity, what do you call this? It's called corruption! It's called corruption and we all have the opportunity to be corrupt, none of us can say, I'll never be corrupt. No! It is a temptation, it is slipping, there, there, there, into an easy business, into delinquency, into criminality, into the exploitation of people. How much corruption there is in the world.
It is a word that if we study it a bit', is bad, no? Because corruption is a dirty thing! If we find a dead animal and is corrupted, , it's ugly. But it also 'stinks', corruption 'stinks'! A corrupt society stinks! A Christian who allows corruption to enter is not Christian, they stink! I Got It? My presence is meant to be an impetus to a journey of hope, rebirth and recovery that is already underway. I know the generous and effective commitment of the Church, present with its community and its services at the very heart of the reality of Scampia; as well as the continued mobilization of voluntary groups, whose help is never lacking. I also encourage the presence and active involvement of the city government, because a community cannot progress without their support, especially in times of crisis and in the presence of difficult and sometimes extreme social situations. 'Good politics' is a service to people, which is exercised primarily at a local level, where the weight of failures, delays, real omission is more direct and hurts more. Good politics is one of the highest expressions of charity, service, and love. Do good politics, but among you all: politics concerns everyone! Good politics depends on you all".
Vatican Radio
- Viết bởi Vatican Radio
(Vatican March 18, 2015) Pope Francis today turned his thoughts to the countless children across the world who live in poverty and need.Addressing the crowds in St. Peter’s Square gathered for the weekly General Audience, the Pope continued in his catechesis on the family, focusing this time on children.
Pope Francis said that children are a great gift for humanity and for the Church. Recalling the many happy children he met during his recent journey to Asia brimming with life and enthusiasm, he said that on the other hand he thinks of the countless children throughout our world who are living in poverty and need.
“A society can be judged by the way it treats its children” he said. The Pope said that children remind us that from our earliest years we are dependent on others. We see this in Jesus himself, who was born a child in Bethlehem. This – he said – is a precious reminder of the fact the necessary condition to enter the reign of God is to never consider ourselves self-sufficient, but in need of help, love and forgiveness.He said that children also remind us that we are always sons and daughters. This identity – he said – reminds us that we have been given the gift of life, that we never cease to be radically dependent.
And speaking of the many gifts that children bring to humanity, Francis said they challenge us to see things with a simple, pure and trusting heart.
They have the capacity to receive and to offer warmth and “tenderness”, to laugh and cry freely in response to the world around us. And he pointed to a child’s spontaneous trust in his mother and father, in God, Jesus and in Our Lady and said Jesus urges us to become like children, since God’s Kingdom belongs to such as these (cf. Mt 18:3). Pope Francis concluded inviting all to “welcome and treasure our children, who bring so much life, joy and hope to the world”. “How sad and bleak would our world be without them!” he said.
Vatican Radio
- Viết bởi Marina Droujinina
ROME, 19 mars 2015 (Zenit.org) - Le pape François a appelé au téléphone – comme il a déjà fait d’autres fois - le pape émérite Benoît XVI pour lui souhaiter une bonne fête de saint Joseph et « à son tour - a reçu les meilleurs vœux du pape émérite pour le deuxième anniversaire du début de son pontificat », annonce un communiqué. La Saint-Joseph est un jour férié au Vatican.
Lors de la messe d’inauguration de son pontificat, le 19 mars 2013, le pape François avait « remercié le Seigneur » de « pouvoir célébrer cette messe » de l’inauguration de son « ministère pétrinien en la solennité de saint Joseph ».
« C’est aussi la fête de mon vénéré Prédécesseur : nous lui sommes proches par la prière, pleins d’affection et de reconnaissance », avait ajouté le pape.
Il avait aussi appelé le pape émérite le même jour au téléphone, « pour lui souhaiter une bonne fête de saint Joseph, son saint patron de baptême, et "pour lui manifester sa gratitude et celle de l'Eglise pour son service".
"L'entretien a été ample et cordial. Le pape émérite a suivi en y participant de façon intense les événements de ces derniers jours et en particulier la célébration de ce matin, et il assure son Successeur de sa proximité continuelle dans la prière", ajoutait un communiqué du Vatican.
Marina Droujinina
- Viết bởi Anne Kurian
ROME, 18 mars 2015 (Zenit.org) - Devant le « génocide » actuel au Moyen-Orient, la communauté internationale a l’obligation morale de protéger les victimes, notamment en « poursuivant l’effort du dialogue entre les autorités » et en dernier recours, « quand toutes les autres voies ont été tentées », en usant « de la force », souligne Mgr Tomasi au micro de Radio Vatican.
Mgr Silvano M. Tomasi, observateur permanent du Saint-Siège aux Nations-Unies à Genève, fait le point sur la situation au Moyen-Orient, tandis que se poursuit la 28e session du Conseil des droits de l’homme (2-27 mars 2015).
Stopper le génocide au Moyen-Orient
Au Moyen-Orient, « nous sommes d’une certaine façon face à un génocide », fait observer l'archevêque : « la destruction systématique d’un groupe de personnes identifiées pour leur croyance religieuse parce qu’elles sont en désaccord avec les autorités qui commandent le territoire ».
« Devant cette sorte de génocide, s’impose l’obligation morale de protéger ces personnes innocentes ». Pour cela il revient à la communauté internationale de décider des modalités d'action, outre l'« aide humanitaire », ajoute-t-il.
« D’autres tentatives sont possibles », affirme Mgr Tomasi : d'abord « poursuivre l’effort du dialogue entre les autorités et les puissances politiques, pour essayer d’arriver à un cessez-le-feu et à faire taire cette violence systématique, qui détruit des milliers de personnes, des cultures et des communautés entières ».
Au niveau régional, « les pays où ces atrocités sont commises, doivent s’engager directement à protéger leurs citoyens. La solidarité de la communauté internationale est nécessaire, mais non sans la participation active de ces pays qui sont directement impliqués ».
Il s'agit notamment pour « les grands pays qui ont un intérêt dans la région », de former « une coalition de grande envergure avec un objectif clair, celui d’apporter la paix et de ramener chez eux les personnes qui ont été contraintes de fuir ».
L'usage de la force est une solution limite
Mgr Tomasi rappelle que « l'usage de la force, même si, malheureusement il est parfois nécessaire, est une "extrema ratio", une solution vraiment limite, quand toutes les autres voies ont été tentées pour sauvegarder les droits fondamentaux des personnes ».
Pour le Saint-Siège, « le chemin idéal est de négocier et de parvenir sans violence à une solution. La violence mène toujours à des résultats qui ne sont pas constructifs et ensuite, à la longue, elle entraîne d’autres violences ».
« Mais il n’y a pas toujours la volonté politique de répondre de manière constructive ou de s’engager pour des compromis qui peuvent apporter la paix », déplore l'archevêque en exprimant le vœu « que le prix élevé payé par les communautés chrétiennes qui ont eu tant de martyrs, tant de personnes sacrifiées, pourra conduire à une réconciliation ».
Le Saint-Siège n'entretient pas d'illusions sur la difficulté du chemin : « L’histoire de ces 100-150 dernières années montre qu'il y a eu une hémorragie progressive et continue de la présence chrétienne dans ces pays... ces communautés sont dans une position structurelle qui conduit à leur discrimination. »
Une solution « durable et efficace » exige « que les citoyens de ces pays soient tous reconnus comme des citoyens, avec des droits et des devoirs égaux devant l’État, et donc qu’ils soient aussi protégés et qu’ils aient accès à tous les services, au travail, à l’embauche, au service public comme tous les autres citoyens. C’est le point fondamental pour préparer un changement efficace et durable dans la région », conclut-il.
Avec une traduction de Constance Roques
- Viết bởi Constance Roque
ROME, 18 mars 2015 (Zenit.org) - Alors que le Nigeria souffre de la violence du groupe terroriste islamiste Boko Haram, le pape exprime son soutien aux évêques : « Avec persévérance et sans vous décourager, avancez sur la voie de la paix ! Accompagnez les victimes ! Secourez les pauvres ! Éduquez les jeunes ! Soyez les promoteurs d’une société plus juste et solidaire ! »
Le pape a en effet adressé une lettre – datée du 2 mars 2015 – à la Conférence épiscopale nigériane, dans une société confrontée « à des formes nouvelles et violentes d’extrémisme et de fondamentalisme, sur fond ethnique, social et religieux » : « Je voudrais vous assurer que je suis proche de vous et de ceux qui souffrent. Tous les jours, je vous porte dans ma prière. »
Lettre du pape François du 2 mars
Chers frères dans l’épiscopat,
Tandis qu’avec toute l’Église nous accomplissons notre chemin de carême vers la résurrection du Seigneur, je désire vous faire parvenir, chers archevêques et évêques, mes salutations fraternelles, que j’étends à la communauté chrétienne bien aimée, confiée à votre sollicitude pastorale. Je désire aussi vous faire partager quelques réflexions au sujet de la situation actuelle de votre pays.
Le Nigeria, connu comme le « géant de l’Afrique », avec plus de 160 millions d’habitants, est destiné à jouer un rôle de premier plan non seulement sur ce continent, mais dans le monde entier. Ces dernières années, il a expérimenté une forte croissance sur le plan économique et il est devenu, sur la scène internationale, un marché d’un grand intérêt que ce soit pour ses ressources naturelles ou pour son potentiel commercial. Il est désormais considéré officiellement comme la plus grande économie africaine. Il s’est aussi distingué en tant qu’interlocuteur politique par son engagement dans la résolution de situations de crise sur le continent.
Parallèlement, votre nation a dû se confronter à de graves difficultés, entre autres des formes nouvelles et violentes d’extrémisme et de fondamentalisme, sur fond ethnique, social et religieux. Un grand nombre de Nigérians ont été tués, blessés et mutilés, séquestrés et privés de tout : de leurs proches, de leur terre, des moyens de subsistance, de leur dignité et de leurs droits. Beaucoup n’ont plus pu retourner chez eux. Croyants, qu’ils soient chrétiens ou musulmans, ils ont en commun une fin tragique, de la main de personnes qui se proclament religieuses, mais qui abusent de la religion pour en faire une idéologie qui se plie à leurs propres intérêts d’oppression et de mort.
Je voudrais vous assurer que je suis proche de vous et de ceux qui souffrent. Tous les jours, je vous porte dans ma prière et je redis ici, pour vous réconforter et vous encourager, les paroles consolantes du Seigneur Jésus qui doivent toujours résonner dans nos cœurs : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix » (Jn 14,27).
La paix – vous le savez bien – n’est pas seulement l’absence de conflit ni le résultat de quelque compromis politique, ni un fatalisme résigné. La paix, pour nous, est un don qui vient d’en-haut, c’est Jésus-Christ lui-même, le prince de la paix, celui qui des deux peuples en a fait un seul (cf. Éph 2,14). Et seul celui qui a la paix du Christ dans son cœur, comme horizon et style de vie, peut devenir un artisan de paix (cf. Mt 5,9).
En même temps, la paix est un engagement quotidien, courageux et authentique pour favoriser la réconciliation, promouvoir des expériences de partage, jeter des ponts de dialogue, servir les plus faibles et les exclus. En un mot, la paix consiste à construire une « culture de la rencontre ».
C’est pourquoi, je veux ici vous exprimer mes sincères remerciements parce qu’au milieu de tant d’épreuves et de souffrances, l’Église au Nigeria ne cesse de témoigner l’accueil, la miséricorde et le pardon. Comment ne pas évoquer les prêtres, les religieux et les religieuses, les missionnaires et les catéchistes qui, au prix de sacrifices indicibles, n’ont pas abandonné leur troupeau, mais sont restés à leur service de bons et fidèles annonciateurs de l’Évangile. À eux, en particulier, je voudrais exprimer ma proximité et leur dire : Ne vous lassez pas de faire le bien !
Pour eux, nous remercions le Seigneur, comme pour les nombreuses personnes de toute extraction sociale, culturelle et religieuse qui, avec une grande détermination, s’engagent concrètement contre toutes les formes de violence et en faveur d’un avenir plus sûr et plus juste pour tous. Ils nous offrent des témoignages émouvants qui, comme nous l’a rappelé le pape Benoît XVI à l’issue du synode pour l’Afrique, montrent « la puissance de l’Esprit qui transforme les cœurs des victimes et de leurs bourreaux pour rétablir la fraternité » (Africae Munus, 20).
Chers frères dans l’épiscopat : avec persévérance et sans vous décourager, avancez sur la voie de la paix (cf. Lc 1,79) ! Accompagnez les victimes ! Secourez les pauvres ! Éduquez les jeunes ! Soyez les promoteurs d’une société plus juste et solidaire !
De tout cœur je vous donne la bénédiction apostolique et je vous demande de la transmettre aux prêtres, religieux et religieuses, missionnaires, catéchistes, fidèles laïcs et surtout aux membres souffrants du Corps du Christ.
Que la résurrection du Seigneur puisse être porteuse de conversion, de réconciliation et de paix pour le peuple tout entier du Nigeria ! Je vous confie à Marie, Reine de l’Afrique. Priez aussi pour moi.
Traduction de Zenit, Constance Roques
- Viết bởi Constance Roque
ROME, 18 mars 2015 (Zenit.org) - Le pape François évoque le « grand cadeau que sont les enfants pour l’humanité ».
Pour conclure son cycle de catéchèses du mercredi sur la famille, le pape a traité ce 18 mars au matin des petits enfants, invitant à accueillir davantage la vie. Il a annoncé une seconde catéchèse sur le même thème pour mercredi prochain.
Le pape indique dans la façon dont on accueille les enfants une jauge pour l’état de la société : « C’est à la manière dont sont traités les enfants qu’on peut juger la société, mais pas seulement moralement, sociologiquement aussi, si c’est une société libre ou une société esclave d’intérêts internationaux. »
Voici notre traduction intégrale de la catéchèse donnée en italien.
A.B.
Catéchèse du pape François
Chers frères et sœurs, bonjour !
Après avoir passé en revue les différentes figures de la vie familiale – la mère, le père, les enfants, les frères et sœurs, les grands-parents – je voudrais conclure ce premier ensemble de catéchèses sur la famille en parlant des petits enfants.
Je le ferai en deux fois : aujourd’hui, je m’arrêterai sur le grand cadeau que sont les enfants pour l’humanité – c’est vrai, ils sont un grand cadeau pour l’humanité, mais ce sont aussi les grands exclus parce qu’on ne les laisse même pas naître – et la prochaine fois, je m’arrêterai sur quelques blessures qui, malheureusement, font du mal à l’enfance.
J’ai à l’esprit les nombreux enfants que j’ai rencontrés pendant mon dernier voyage en Asie : plein de vie, d’enthousiasme et, d’autre part, je vois que dans le monde, beaucoup d’entre eux vivent dans des conditions qui ne sont pas dignes… En effet, à la manière dont sont traités les enfants, on peut juger la société, mais pas seulement moralement, sociologiquement aussi, si c’est une société libre ou une société esclave d’intérêts internationaux.
En premier lieu, les petits enfants nous rappellent que tous, dans les premières années de la vie, nous avons été totalement dépendants des soins et de la bienveillance des autres. Et le Fils de Dieu ne s’est pas épargné ce passage. C’est le mystère que nous contemplons tous les ans à Noël. La crèche est l’icône qui nous communique cette réalité de la manière la plus simple et directe. Mais c’est curieux : Dieu n’a pas de difficultés à se faire comprendre des enfants, et les enfants n’ont pas de problèmes pour comprendre Dieu. Ce n’est pas le hasard si, dans l’Évangile, il y a quelques paroles très belles et fortes de Jésus sur les « petits ». Ce terme de « petits » indique toutes les personnes qui dépendent de l’aide des autres, et en particulier les enfants. Jésus dit par exemple : « Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits » (Mt 11,25) et encore : « Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car, je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient sans cesse la face de mon Père qui est aux cieux. » (Mt 18,10).
Par conséquent, les enfants sont en soi une richesse pour l’humanité et aussi pour l’Église, parce qu’ils nous rappellent constamment la condition nécessaire pour entrer dans le Royaume de Dieu : ne pas se considérer comme se suffisant à soi-même mais comme ayant besoin d’aide, d’amour, de pardon. Et tous, nous avons besoin d’aide, d’amour et de pardon !
Les enfants nous rappellent autre chose de beau : ils nous rappellent que nous sommes toujours des enfants: même si l’on devient adulte, ou âgé, même si l’on devient un père ou une mère, si l’on occupe un poste de responsabilité, en-dessous de tout cela, demeure l’identité d’enfant. Nous sommes tous des enfants. Et cela nous conduit toujours au fait que nous ne nous donnons pas la vie à nous-mêmes mais nous l’avons reçue. Le grand don de la vie est le premier cadeau que nous ayons reçu. Parfois, nous risquons de vivre en oubliant cela, comme si nous étions nous-mêmes maîtres de notre existence, et au contraire nous sommes radicalement dépendants. En réalité, c’est un motif de grande joie de sentir qu’à tous les âges de la vie, dans toutes les situations, dans toutes les conditions sociales, nous sommes et nous demeurons des enfants. C’est le message principal que les enfants nous donnent, par leur présence même : rien que par leur présence, ils nous rappellent que nous sommes tous et chacun des enfants.
Mais il y a tellement de dons, tellement de richesses que les enfants apportent à l’humanité. J’en évoque seulement quelques-uns.
Ils apportent leur façon de voir la réalité, avec un regard confiant et pur. L’enfant a une confiance spontanée dans son papa et dans sa maman ; il a une confiance spontanée en Dieu, en Jésus, en la Vierge Marie. En même temps, son regard intérieur est pur, pas encore pollué par la malice, par les duplicités, par les « incrustations » de la vie qui endurcissent le cœur. Nous savons que les enfants aussi ont le péché originel, qu’ils ont leurs égoïsmes, mais ils conservent une pureté et une simplicité intérieures. Mais les enfants ne sont pas diplomates : ils disent ce qu’ils sentent, ils disent ce qu’ils voient, directement. Et bien souvent ils mettent leurs parents en difficulté, en disant devant les autres personnes : « Ceci ne me plaît pas parce que ce n’est pas beau ». Mais les enfants disent ce qu’ils voient, ce ne sont pas des personnes doubles, ils n’ont pas encore appris cette science de la duplicité que nous autres, adultes, nous avons malheureusement apprise.
D’autre part, dans leur simplicité intérieure, les enfants portent en eux la capacité de recevoir et de donner de la tendresse. La tendresse, c’est avoir un cœur « de chair » et non « de pierre », comme le dit la Bible (cf. Éz. 36,26). La tendresse est aussi poésie : c’est « sentir » les choses et les événements, ne pas les traiter comme de simples objets, juste pour les utiliser, parce qu’ils servent…
Les enfants ont la capacité de sourire et de pleurer. Quand je les prends pour les embrasser, certains sourient ; d’autres me voient habillé en blanc et croient que je suis le médecin et que je viens leur faire un vaccin, et ils pleurent… mais spontanément ! Les enfants sont comme cela : ils sourient et ils pleurent, deux choses qui chez nous, les grands, « se bloquent » souvent, nous ne sommes plus capables… Si souvent notre sourire devient un sourire en carton, quelque chose qui est sans vie, un sourire qui n’est pas vivant, et même un sourire artificiel, de guignol.
Les enfants sourient spontanément et pleurent spontanément. Cela dépend toujours du cœur, et souvent notre cœur se bloque et perd cette capacité de sourire, de pleurer. Et alors les enfants peuvent nous enseigner de nouveau à sourire et à pleurer. Mais, nous-mêmes, nous devons nous demander : est-ce que je souris spontanément, avec fraîcheur, avec amour ou mon sourire est-il artificiel ? Est-ce que je pleure encore ou bien ai-je perdu la capacité de pleurer ? Deux questions très humaines que nous enseignent les enfants.
Pour toutes ces raisons, Jésus invite ses disciples à « devenir comme les enfants » parce que « le Royaume de Dieu appartient à ceux qui leur ressemblent » (cf. Mt 18,3 ; Mc 10,14).
Chers frères et sœurs, les enfants apportent la vie, la joie, l’espérance, et aussi des ennuis. Mais la vie est comme cela. Ils apportent aussi, certainement, des préoccupations et parfois beaucoup de problèmes ; mais il vaut mieux une société avec ces préoccupations et ces problèmes qu’une société triste et grise parce qu’elle est restée sans enfants ! Et quand nous voyons que le taux de naissance d’une société arrive à peine à un pour cent, nous pouvons dire que cette société est triste, qu’elle est grise parce qu’elle est restée sans enfants.
Traduction de Zenit, Constance Roques
- Viết bởi Eglises d'Asie
Comme Eglises d’Asie l’avait annoncé récemment, les 10 et 11 mars dernier, Heiner Bielefeldt, rapporteur spécial des Nations Unies en matière de liberté de religion, a soumis au Conseil des droits de l’homme de l’ONU un rapport détaillé concernant la liberté de religion ou de conviction au Vietnam pour l’année 2014.
Ce rapport, achevé depuis déjà quelques jours, a été rédigé à l’issue d’une enquête menée au Vietnam par le rapporteur et sa délégation du 21 au 31 juillet 2014. Le dernier jour de ce voyage, l’envoyé des Nations Unies s’était déjà exprimé dans un rapport oral. Celui-ci comportait une vigoureuse mise en cause de l’attitude des autorités à l’égard de sa délégation et surtout des personnes contactées pour être entendues par elle.
Tout en reconnaissant les multiples facettes et la richesse de la vie religieuse au Vietnam aujourd’hui, le rapport soulève les problèmes posés par certaines dispositions du système législatif et par le comportement des autorités vis-à-vis de certaines communautés religieuses non reconnues par elles. Selon un communiqué de l’agence Quê Me, les reproches contenus dans le rapport ont entraîné une réaction immédiate de la délégation du Vietnam présente à cette session du Conseil des droits de l’homme. Un membre de la délégation vietnamienne a nié que les autorités vietnamiennes soient intervenues au cours de l’enquête pour empêcher certaines rencontres. Il a reproché au rapporteur spécial de l’ONU de s’être appuyé sur des informations erronées et d’avoir ainsi échoué dans sa description de la situation religieuse réelle au Vietnam.
Cependant, dans les articles écrits à ce sujet, la presse officielle du Vietnam ne laisse rien transparaître des critiques contenues dans le rapport. Le journal Vietnam plus du 13 mars écrit par exemple : « Heiner Beilefeldt a vivement apprécié la coopération et la création de conditions favorables des organes compétents du Vietnam durant sa visite au Vietnam. » Selon ce journal, le rapporteur spécial aurait simplement « proposé au Vietnam de continuer à perfectionner les dispositions de la loi sur les religions ».
Si l’on met à part le préambule du rapport qui relate certains faits saillants du voyage de la délégation au Vietnam et, en particulier, la réaction du rapporteur spécial exprimée oralement le dernier jour du voyage à Hanoi, on peut distinguer deux parties principales dans ce rapport (1). La première traite de l’encadrement légal des activités religieuses. La seconde relève un certain nombre de questions sensibles dans les rapports entre l’Etat et la religion : les communautés religieuses non reconnues, la nomination des dignitaires, la question des propriétés, la présence religieuse en prison ou chez les militaires, etc.
Le rapport présenté au Conseil des droits de l’homme comporte en premier lieu une présentation générale des dispositions législatives et réglementaires encadrant l’exercice du droit à la liberté religieuse. L’étude est minutieuse. Elle porte sur les grands textes législatifs traitant de la vie religieuse, à savoir la Constitution adoptée en 2013, l’Ordonnance sur les croyances et les religions de 2004 et le récent arrêté N° 92, mis en vigueur en novembre 2012. Le rapporteur spécial est particulièrement attentif aux nombreuses dispositions en contradiction avec l’article 18, alinéa 3 du Pacte internationale relatif aux droits civiques et politiques, qui détermine les cas où la liberté de culte peut être limitée (2). Plus encore, il s’arrête sur de nombreux articles du Code pénal qui rendent la liberté religieuse dépendante des « intérêts de l’Etat ». Un des articles les plus utilisés pour condamner les dissidents est l’article 258 : « Avoir utilisé la liberté démocratique pour porter atteinte aux intérêts de l’Etat ».
Dans la seconde partie, la question des communautés religieuses non reconnues par l’Etat est traitée avec un soin particulier. Le rapport déclare : « Le droit à l’autonomie et à l’action des communautés religieuses (ou de conviction) (…) « non reconnues » reste toujours limité et non assuré, tandis que leurs droits à la liberté de religion et de conviction sont formellement violés par les contrôles, les menaces et une pression incessantes. » Plus loin, le rapport s’interroge sur la légitimité de « l’enregistrement » demandé à toutes les communautés religieuses afin de déterminer quelles sont celles qui ont le droit de mener des activités religieuses. Pour le rapporteur spécial, aucune autorité civile ne peut jouir d’un tel pouvoir. Selon le rapporteur, l’Etat peut tout au plus proposer de reconnaître officiellement une communauté.Le rapport s’achève par une liste de vingt conclusions et propositions suggérées aux autorités gouvernementales. Elles passent en revue les diverses questions posant problème dans les relations des communautés religieuses avec l’Etat. (eda/jm)
Notes
(1) A l’heure où nous écrivons, aucun test complet de ce rapport n’est disponible en anglais ou en français. Il existe cependant une traduction vietnamienne du texte intégral qui a été publié le 1er mars 2015 par Vietnam UPR : http://vietnamupr.com/2015/03/chuyen-gia-ton-giao-lhq-bao-cao-ve-tinh-hinh-ton-giao-vn/ Nous nous servons de cette version.
(2) Il s’agit de l’article suivant : « La liberté de manifester sa religion ou ses convictions ne peut faire l’objet que des seules restrictions prévues par la loi et qui sont nécessaires à la protection de la sécurité, de l’ordre et de la santé publique, ou de la morale ou des libertés et droits fondamentaux d’autrui. »(Source: Eglises d'Asie, le 16 mars 2015)
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