Tin Ngoại Ngữ
Tin Ngoại Ngữ
- Viết bởi Anne Kurian
ROME, 27 avril 2015 (Zenit.org) - Le pape François demande aux évêques du Bénin de « favoriser la rencontre entre les cultures ainsi que le dialogue entre les religions, notamment avec l’islam ». Car si « le Bénin est un exemple d’harmonie entre les religions », il convient « de conserver ce fragile héritage ».
Le pape a reçu les évêques de la Conférence épiscopale béninoise en visite ad limina ce lundi matin, 27 avril 2015, au Vatican : Mgr Antoine Ganyé, archevêque de Cotonou, Mgr Eugène Cyrille Houndékon, évêque d'Abomey, Mgr François Gnonhossou, S.M.A., évêque de Dassa-Zoumé, Mgr Victor Agbanou, évêque de Lokossa, Mgr Pascal N'Koué, archevêque de Parakou, Mgr Paul Kouassivi Vieira, évêque de Djougou, Mgr Clet Feliho, évêque de Kandi, Mgr Antoine Sabi Bio, éveque de Natitingou, Mgr Martin Adjou Moumouni, évêque de N'Dali, le P. Jean-Benoît Gnambode, administrateur diocésain de Porto Novo.
Au cours de la rencontre, le pape leur a remis un discours, saluant le « bel enthousiasme dans l’expression visible de la foi » au sein de l’Église du Bénin : « La vie paroissiale est animée, les fidèles participent en grand nombre aux célébrations, les conversions au Christ sont nombreuses ainsi que les vocations sacerdotales et religieuses. »
Discernement pour les missions extérieures
« Puisque les vocations ne manquent pas, vous êtes prêts à partager généreusement vos ressources avec les Églises d’autres régions qui en sont dépourvues. Il convient, cependant, lorsque vous envoyez des prêtres en études ou en mission extérieure, de le faire avec discernement, n’oubliant pas les nécessités de vos propres Églises », a ajouté le pape.
La foi des chrétiens béninois « est parfois superficielle et manque de solidité », a-t-il aussi mis en garde en souhaitant « que le désir d’une connaissance profonde du mystère chrétien ne soit pas l’apanage d’une élite, mais anime tous les fidèles ».
Cette foi est en effet nécessaire pour lutter « face aux multiples agressions idéologiques et médiatiques », a-t-il poursuivi : « L’esprit de sécularisation est à l’œuvre aussi dans votre pays, même si cela est encore peu visible. Seule une foi profondément enracinée au cœur des fidèles, et concrètement vécue, permettra d’y faire face. »
Favoriser la rencontre entre les cultures
Le pape a exhorté par ailleurs à « favoriser la rencontre entre les cultures ainsi que le dialogue entre les religions, notamment avec l’islam » : « Il est connu que le Bénin est un exemple d’harmonie entre les religions présentes sur son territoire. Il convient d’être vigilant, compte tenu du climat mondial actuel, afin de conserver ce fragile héritage. »
Mais le dialogue doit se vivre « sans renoncer en rien à la Vérité révélée par le Seigneur ». De même, les « œuvres accomplies par l’Église ont une spécificité qui doit être clairement identifiée: il ne s’agit jamais d’une simple assistance sociale, mais de la manifestation de la tendresse et de la miséricorde de Jésus lui-même qui se penche sur les blessures et les faiblesses de ses frères », a-t-il rappelé.
Il s'agit également pour les évêques de « continuer de prendre toute [leur] place dans la vie publique du pays, particulièrement en ces temps, tout en prenant garde de ne pas entrer directement dans le jeu politique ni les querelles de parti ».
Aller courageusement à contre-courant
Devant les défis actuels, le pape a encouragé à « poursuivre avec détermination les efforts entrepris pour soutenir les familles, tant dans leur foi que dans leur vie quotidienne ». Si la pastorale du mariage reste « difficile » au Bénin, « il ne faut pas se décourager, mais persévérer sans cesse, car la famille telle que la défend l’Église catholique est un don de Dieu qui apporte, aux personnes comme aux sociétés, la joie, la paix, la stabilité, le bonheur », a-t-il affirmé.
Il a également exhorté à « poursuivre sans relâche » les efforts auprès de la jeunesse : « la formation intégrale, tant humaine que spirituelle, des jeunes générations est importante pour l’avenir de la société à laquelle ils pourront apporter leur précieuse contribution, notamment en matière de solidarité, de justice et de respect de l’autre ».
« Allez courageusement à contre-courant, en luttant contre la culture du "déchet" partout répandue et en diffusant les valeurs évangéliques de l’accueil et de la rencontre », a-t-il insisté.
Anne Kurian
- Viết bởi Anne Kurian
ROME, 24 avril 2015 (Zenit.org) - Il faut "apprendre à goûter la bonne saveur de l’unité", confie à Zenit le recteur du Collège pontifical arménien de Rome à l’occasion du centième anniversaire du déclenchement du génocide et après la célébration à Saint-Pierre, autour du pape François, le 12 avril.
Il y a un siècle exactement en effet ce vendredi 24 avril 2015, 600 notables arméniens étaient assassinés sur ordre du gouvernement de la Turquie ottomane: c’était, le samedi 24 avril 1915, à Constantinople, capitale de l'empire, le tragique début du “Grand Mal”, le “premier génocide du XXe siècle” comme l’appelé le pape Jean-Paul II, des paroles citées par le pape François.
Ce génocide a fait entre 1,2 à 1,5 million de victimes dans la population arménienne de l'empire turc – les deux tiers des Arméniens de l’empire - , ainsi que plus de 250.000 dans la minorité assyro-chaldéenne des provinces orientales et 350.000 chez les Pontiques, orthodoxes hellénophones de la province du Pont.
En ce jour de mémoire, le recteur du Collège pontifical arménien de Rome, Mgr Georges Noradounguian Dankaye revient, pour Zenit, sur les récentes comémorations qui ont rassemblé au Vatican les patriarches arméniens, à Saint-Pierre, pour la proclamation de saint Grégoire de Narek comme docteur de l’Eglise.
Zenit - Le Collège pontifical arménien organise-t-il des événements particuliers à l’occasion de ce centenaire?
Mgr Georges Noradounguian Dankaye - Comme chaque année, le 24 avril, on célèbre la Sainte messe avec une méditation appropriée pour l’occasion. A cette messe participent tous les Arméniens de Rome et leurs amis.
L’année dernière j’ai proposé une réflexion qui avait pour titre: « Je cherche mes frères » - les Turcs -.
Pour cette année j’ai choisi les paroles de N. S. Jésus à la Samaritaine: « Dieu est Vérité et il veut qu’on l’adore en Esprit et Vérité ». C’est justement le cas des martyrs soit du passé soit d’aujourd’hui en Irak, en Syrie, etc.
Durant l’année il y a toujours des activités culturelles, des conférences sur l’histoire, la culture des Arméniens et leurs causes.
Qu'est-ce que la proclamation de saint Grégoire de Narek comme Docteur de l'Eglise apporte au centenaire ?
C’est tout d’abord le centenaire qui a accéléré la cause de la proclamation.
Deuxièmement, c’est un grand don de l’Eglise catholique à l’Eglise arménienne.
C’était l’initiative de l’église Arménienne catholique : la cause de la proclamation a commencé il y a quelques dizaines d'années.
Deux congrès sur saint Grégoire ont été organisés dans cette direction, le premier à Rome, le second au Liban.
Des études approfondies ont été fait avec l’aide de Mgr Levon Zekian et Jean-Pierre Mahé et d’autres grands « arménologues ».
Des traductions de ses œuvres ont été préparées.
Troisièmement, c’est un saint d’il y a 10 siècles. Or, avant le grand schisme (1054), saint Grégoire est le saint de tous les Arméniens, catholiques et apostoliques. Sa proclamation comme docteur de l’Eglise est d’une grande actualité œcuménique.
Puisse, Saint Grégoire dorénavant accélérer l’union de l’Eglise Arménienne, une des unions les plus faciles et imaginables selon des experts en la matière.
Quatrièmement, son Livre des lamentations, ses discours avec Dieu ont une fraîcheur spirituelle actuelle. Les discours avec Dieu sont de plus en plus rare de nos jours.
En trouve en effet des milliers d’études sur Dieu mais ils sont très rares les discours actuels avec Dieu. Donc, cela aidera à rendre aux Arméniens d’abord et à l’Eglise universelle un langage actuel, des prières qui viennent du profond du cœur, avec Dieu.
La célébration au Vatican a vu la participation du patriarche de Cilicie des Arméniens catholiques, Nersès Bedros XIX Tarmouni, de Karékine II, Patriarche suprême et Catholicos de Tous les Arméniens, et d'Aram Ier, Catholicos de la Grande Maison de Cilicie : quel message retenez-vous ?
La souffrance et la mort pour la foi chrétienne est le facteur commun de tous les Arméniens.
Comme Peuple, les Arméniens sont des pionniers en matière démocratique. Entre Arméniens, on ne trouve pas beaucoup de sujets autours desquels se mettre d’accord…
Donc la mémoire du génocide, comme toujours, a réussi à rassembler tous les chef religieux des Arméniens autour de l’autel de saint Pierre et autour de son Successeur, le Pape François.
En doit reconnaître au Patriarche des Arméniens catholiques Nersès Bedros l’idée de cette messe présidé par le Saint-Père en présence aussi du Président de la jeune République arménienne.
Le Message du Pape a consolé les coeurs des Arméniens. Cette image qui est en même temps un message fort passera à l’Histoire: autour du Pape, les trois Catholicos des Eglises Arménienne et le Président de la République, pour apprendre à goûter la bonne saveur de l’unité.
Ce serait un grand péché que de publier des images où il manquerait l’un d’eux.
Aujourd'hui, comment soigner les blessures du peuple arménien ? Quelle route reste-t-il à parcourir ? Dans quel esprit ?
Les blessures seront soignées par la reconnaissance du génocide de la part du monde entier. Ce ne sera pas seulement pour notre bien à nous, les Arméniens, mais cela favorisera le bien commun et nous serons les témoins de l’arrêt des massacres à fond religieux actuels soit contre les chrétiens soit entre les musulmans.
Le parcours obligatoire c’est la fidélité à la cause.
L’esprit: de dialogue, de pardon, d’ouverture, de compréhension.
Quels sont les instruments concrets et spirituels que vous recommanderiez pour la réconciliation entre le peuple arménien et le peuple turc ? Pour la pacification ?
Notre problème n’est pas avec le peuple turc avec lequel on a vécu l’un à côté de l’autre, avec lequel on a cherché toujours le bien commun. Le problème reste avec les autorités qui ont encore la difficulté d’accepter une responsabilité.
Le 6 novembre 2014, une délégation de la paroisse arménienne de Saint-Nicolas-de-Tolentino a participé à la messe du pape François à Sainte-Marthe : est-ce que le pape a adressé des paroles à la communauté arménienne ?
Pas du tout. La messe de Sainte Marthe est une eucharistie durant la quelle le Saint-Père fait une petite méditation sur l’Evangile du jour. Moi-même j’accompagnais les fidèles. Cela me rend triste à chaque fois je lis des commentaires de la méditation quotidienne du Pape avec une lecture politique.
Que gardez-vous de cette rencontre ?
Tout d’abord, la simplicité du Saint-Père, son message courageux, direct, simple, qui entre sans aucun effort dans le coeur de l’homme en l’invitant à lire sa vie sous un nouvel angle de vue.
Ensuite, le message du Pape est, malgré sa portée dure, réconfortant, consolant et encourageant.
Anne Kurian
- Viết bởi Anita Bourdin
ROME, 24 avril 2015 (Zenit.org) - L’inauguration de l’exposition universelle de Milan EXPO 2015 sera marquée par une intervention en direct du pape François, - grâce à la RAI et au Centre de télévision du Vatican (CTV) - vendredi 1er mai, annonce un communiqué du diocèse de Milan, ce 24 avril.
Le thème de l’exposition est “Nourrir la planète. Energie pour la vie”: un domaine où l’Eglise est particulièrement engagée. Et d’autant plus significatif au moment où l’on attend la publication de l’encyclique du pape sur l’écologie.
Le Saint-Siège est présent à l’EXPO 2015 avec un pavillon récemment présenté au Vatican, sur le thème: “Pas seulement de pain”. Un site Internet a été églament ouvert ainsi qu’un compte sur Twitter @expoholysee et une page sur Facebook: “Chiesa in Expo”.
Caritas Internationalis a également un espace en tant que “Participant de la société civile”, en lien avec sa campagne contre la faim dans le monde, sur le thème: “Diviser pour multiplier. Rompre le pain”. Ici aussi un “blog” et un compte Twitter: @expoblogcaritas.
Anita Bourdin
- Viết bởi Constance Roques
ROME, 23 avril 2015 (Zenit.org) - « L’Europe a besoin de main-d’œuvre et dans l’histoire, les émigrés ont apporté un bien-être aux pays d’accueil et à leurs pays d’origine », rappelle Mgr Silvano M. Tomasi, observateur permanent du Saint-Siège aux Nations-Unies à Genève, au micro de Radio Vatican.
Mgr Tomasi encourage le Conseil européen – réuni ce 23 avril sur la situation en Méditerranée – à « affronter le problème d’une manière presque radicalement nouvelle, qui aille au-delà des mesures de contrôle habituelles ». Sinon, les choses resteront « comme elles sont », met-il en garde.
La priorité n°1 est de sauver des vies
Pour le Saint-Siège, « la priorité numéro un » n'est pas « la question économique ou les intérêts immédiats de tel ou tel pays, mais de sauver des vies humaines qui sont en danger ».
L'archevêque estime que le repérage et la destruction des bateaux en Libye ne seraient pas efficaces : « Cela pourrait ralentir le mouvement vers les pays européens. Mais si l’on ne va pas à la racine du problème, nous ne trouverons pas de solution. »
« L’émigration n’est pas un facteur isolé, il est lié à toutes les autres situations de relations politiques entre l’Europe et les pays d’origine : le commerce, l’exportation d’armes, le manque de respect des droits de l’homme, le soutien politique apporté à des gouvernements qui contraignent leur citoyens, à travers la répression qu’ils exercent, à fuir pour chercher une vie moins indigne », souligne-t-il.
L’Europe a besoin de main-d’œuvre
Il donne quelques pistes concrètes, à commencer par « reprendre en main la question de l’acceptation et de la répartition des nouveaux arrivés » : alors que certains « pays généreux » de l'UE acceptent « un nombre important de demandeurs d’asile », d’autres parmi les vingt-huit « sont très réticents et accueillent un nombre vraiment symbolique, insignifiant, de personnes ».
Mgr Tomasi rappelle que « d'une part, l’Europe a aussi besoin de main-d’œuvre et que, d’autre part, à long terme, si l’on va voir dans l’histoire, les émigrés ont apporté un bien-être à eux-mêmes, aux pays d’accueil et à leurs pays d’origine ».
Au niveau social, « il faut vaincre ce comportement de xénophobie, cette réaction négative envers l’étranger qui se retrouve malheureusement dans les réponses politiques de nombreux pays européens, dans ces partis qui votent et qui ne recueillent de voix qu’en argumentant contre les émigrés », ajoute-t-il.
Avec une traduction de Constance Roques
- Viết bởi Oceane Le Galle
ROME, 23 avril 2015 (Zenit.org) - Le pape François ordonnera prêtres 19 diacres dimanche prochain, 26 avril 2015, à l’occasion de la 52ème Journée mondiale de prière pour les vocations : symboles de l'universalité du diocèse de Rome, ils viennent d'Italie, de Corée, du Chili, de Colombie, d'Inde, de Croatie, du Pérou et de Madagascar.
Les ordinations auront lieu au cours de la messe du IVe dimanche de Pâques que le pape célébrera à 9h30 en la basilique Saint-Pierre, entouré du vicaire pour le diocèse de Rome, le cardinal Agostino Vallini, du vice-gérant du diocèse Mgr Filippo Iannone, des cinq évêques auxiliaires de Rome, des supérieurs des séminaires concernés et des curés de paroisses des futurs prêtres.
Treize des futurs prêtres – qui ont de 27 à 39 ans – ont été formés dans les séminaires diocésains : neuf au Collège diocésain Missionnaire « Redemptoris Mater », trois au Grand séminaire pontifical de Rome et un au séminaire de Notre-Dame du Divin Amour.
Parmi les diacres du Collège « Redemptoris Mater », cinq sont nés à Rome : Antonio Elia Del Prete, Diego Lofino, Fabrizio Vittoria, Giacomo Salza et le plus jeune, Filippo Zughetti (28 ans).
Les quatre autres sont un Italien de Vérone, Davide Maria Tisato, un Coréen du Sud, Michael Junsoo Byeon, un Colombien, Alonso Ojeda Agudelo, un Chilien, Leonel Alejandro Torres Lara.
Les futurs prêtres issus du Grand séminaire sont tous les trois italiens, deux originaires de Rome, Paolo D’Argenio et Michele Ferretti, et le dernier, Giovanni Lo Giudice, de Messine. Enfin, le diacre formé au Séminaire de Notre-Dame du Divin Amour, Milton Mauro Vera Roa, est chilien.
Quatre autres futurs prêtres appartiennent à la congrégation de la Famille des disciples – Michelin Avisoa (Madagascar), Jean Norbert Randriantantelison (Madagascar), Adolfo Sergio Izaguirre Leocadio (Pérou), Cristiano Crispin Montalvo Jiménez (Pérou) –, un à l’Ordre franciscain des Frères Mineurs Conventuels – Stjepan Brćina (Croatie) – et un au rite syro malabar, du diocèse de Thamarassery (Inde) – Sony George Kappalumackal.
Pour préparer la Journée mondiale des vocations au niveau diocésain, une veillée de prière aura lieu demain, vendredi 24 avril à 20h45 en la basilique Saint-Jean-du-Latran. La soirée propose des catéchèses mais aussi des témoignages, entre autres celui de deux diacres que le pape ordonnera, et d’une consacrée qui fera bientôt ses vœux perpétuels.
Traduction d'Océane Le Gall
- Viết bởi Zenit
Vatican City, April 23, 2015 (Zenit.org)
Offices in the Vatican are marking today's feast of St. George (Jorge in Spanish) with celebration, as it is the feast day of Pope Francis' baptismal saint. Pope Francis was born Jorge Mario Bergoglio in Argentina on Dec. 17, 1936, and was baptized a week later, on Christmas night.
Vatican Radio shared a reflection from Monsignor Peter Fleetwood about St. George, who is patron of England, and is generally depicted as a soldier fighting a dragon to save someone else's life.
Dragons may be mythical animals, but myths contains symbols and symbols sum up some aspect of life that is very important or powerful: "I suspect the dragon represents evil in any form. Some people may not like to hear this , but the dragon may represent evil people," the monsignor said.
"The dragon is a symbol of the power evil people can wield in this world. They can force good people into submission and either damage them or humiliate them or lead them astray. This is a frightening reality, and it is a reminder that sometimes goodness and holiness mean bravery in the face of wickedness. At a baptism, the new Christian is exorcised, not because she or he is possessed, but because the Christian Church recognizes where human power runs out and we simply have to rely on God.
"Saint George is a reminder that we need help to survive when evil is about. It may be a naive symbolism, but the pictures and statues of Saint George are all about the battle between good and evil. They also hark back to what Jesus said about his sheep. He was there to protect them, because they needed protection. Saint George is a reminder that sometimes good people are called upon to bother to be brave and offer that protection in place of Jesus."
(April 23, 2015) © Innovative Media Inc.
- Viết bởi Anne Kurian
ROME, 21 avril 2015 (Zenit.org) - Le secrétaire général des Nations-Unies, Ban Ki-moon, sera au Vatican le 28 avril 2015, pour rencontrer le pape François et participer à un sommet avec des leaders religieux, dans le cadre de la lutte contre le trafic d’êtres humains.
Mme Margaret Archer, présidente de l’Académie pontificale des sciences sociales – qui fait partie des organisateurs de ce Sommet – a annoncé cet événement ce mardi matin, 21 avril, au cours de la Conférence de conclusion de l’assemblée plénière du dicastère sur le thème « Trafics d’êtres humains : questions au-delà de la criminalisation » (“Human trafficking: Issues beyond criminalization” 17-21 avril).
Ban Ki-Moon au Vatican
Le Saint-Siège entend demander à l’ONU d’inscrire « l’élimination du trafic d'êtres humains et de ses substituts : travail forcé, prostitution, trafic d’organe, servitude domestique... » à part entière dans les objectifs de développement durable (ODD) après-2015, a précisé Mme Archer.
« Le 28 avril, Ban Ki-moon rencontrera le pape François et il participera à un sommet avec des leaders religieux… Nous partagerons avec lui nos recommandations pour réduire le problème du trafic d'êtres humains », dont les profits illégaux sont estimés à 150 milliards de dollars.
Mme Archer a raconté avec humour la genèse du travail de l’Académie sur cette question : « Depuis 20 ans, nous avons produit d’énormes livres chaque année, des livres illisibles, entièrement académiques, qui ont surtout pris la poussière sans avoir beaucoup d’impact... ».
Mais à l’élection du pape François, « nous avons senti que nous pouvions êtes utiles : nous lui avons écrit une lettre polie, demandant quel service pouvait-on rendre à l’Eglise… En mai 2013, notre chancelier Mgr Marcelo Sánchez Sorondo a reçu une petite note signée du pape en espagnol, au dos d’une enveloppe : "Je pense qu’il sera bon d’examiner le trafic d’êtres humains et l’esclavage moderne. Le trafic d’organes peut se traiter en connexion avec la traite des personnes. Merci beaucoup." »
Rassembler les groupes existants
« Nous avons commencé tout de suite », a poursuivi Mme Archer : le dicastère a organisé des rencontres avec Interpol et Europol, dont les responsables, plein de « bonne volonté », « extrêmement serviables » et « très ouverts », ont exposé leurs « techniques de détection » des trafics.
Puis a suivi une rencontre avec « des jeunes très enthousiastes », et enfin avec des leaders religieux qui ont signé une Déclaration conjointe le 2 décembre 2014 au Vatican : le trafic est en effet un thème qui touche « au-delà des différences » et qui concerne « tout le monde, religieux, agnostiques… ».
L’Académie pontificale n’a certes pas « inventé ce mouvement », mais « les groupes existants n’étaient pas reliés entre eux », a précisé Mme Archer : un des objectifs est donc « de les rassembler et de faire du trafic humain une offense morale et criminelle, dans le monde entier ».
Plus de protection des victimes
Durant l’Assemblée plénière, les participants ont souligné la nécessité d’une « criminalisation » plus affirmée, « plus efficace », afin que les trafiquants soient « davantage pénalisés ».
Mais cela n’est « pas suffisant pour éliminer le trafic », a ajouté Mme Archer : « Là où il y a une demande, un profit, cela continuera ». Il faut donc « travailler du côté de la demande » : « comment la réduire ? », se sont demandés les participants.
Ils ont plaidé par ailleurs pour une meilleure protection des victimes qui acceptent de témoigner contre leurs bourreaux : « Quand le jugement est terminé, ces personnes sont renvoyées chez elles, rapatriées dans leur pays... Mais elles sont en danger : leur famille peut-être à l'origine de leur rencontre avec les trafiquants (près de 50% des victimes selon les statistiques) ; en outre, ces victimes en savent trop, et les "gros poissons" sont toujours en liberté... »
Anne Kurian
- Viết bởi Marina Droujinina
ROME, 21 avril 2015 (Zenit.org) - Le pape Benoît XVI a « semé » des semences et aujourd’hui, nous voyons « ce qu’il a semé grandir et porter beaucoup de fruits », estime Mgr Gänswein.
Mgr Georg Gänswein, préfet de la Maison pontificale et collaborateur du pape émérite depuis 1996, est intervenu lors de la présentation du livre, en italien : « Benoît XVI. Serviteur de Dieu et les hommes », publié à l’occasion du Xe anniversaire de l’élection du pape Ratzinger, rapporte Radio Vatican.
Le livre publié par la Librairie éditrice du Vatican en collaboration avec l'éditeur allemand Schnell & Steiner a été présenté hier, 20 avril, au Vatican.
Pendant la présentation, une autre annonce a été faite : une « Bibliothèque romaine Joseph Ratzinger - Benoît XVI » ouvrira ses portes en septembre au « Collège teutonique » du Vatican afin d’offrir à tous les chercheurs qui s’intéressent aux ouvrages écrits par le pape Benoît XVI et sur lui, dans toutes les langues dans lesquelles ils ont été publiés. La bibliothèque sera créée par la Fondation Ratzinger et vise à préserver et à diffuser la théologie du pape émérite, annonce un communiqué.
« Benoît XVI. Serviteur de Dieu et les hommes », retrace les étapes principales du service sacerdotal du pape Benoît XVI depuis son élection le 19 avril 2005 et jusqu’à la fin de son pontificat annoncée le 11 février 2013.
L’ouvrage contient des témoignages des collègues, des étudiants et des amis du pape qui ont travaillé en étroite collaboration avec le pontife pendant huit ans de son pontificat.
De nombreuses photos complètent le contenu en évoquant des moments significatifs de la vie de l’Église tels que les funérailles du saint pape Jean-Paul II et la première rencontre du pape Benoît XVI avec le pape François.
Le cardinal Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi et auteur d'un texte sur la relation entre Benoît XVI et le sacerdoce a particulièrement souligné la continuité de l’œuvre de ces trois papes en disant : "Jean-Paul II, Benoît XVI et le pape François expriment chacun à sa manière, avec sa propre personnalité, avec son charisme la Primauté de Pierre, ce qui est important et absolument essentiel pour l'unité de l'Église… Tous les trois sont un grand cadeau pour l'Église d'aujourd'hui. »
Marina Droujinina
- Viết bởi Pape Francis
ROME, 21 avril 2015 (Zenit.org) - Le pape François exprime sa « consternation » et sa « tristesse » après l'assassinat de 30 chrétiens éthiopiens en Libye, par des terroristes de « l’Etat islamique ». Une vidéo de propagande a été diffusée le 19 avril.
Dans un message de ce même 19 avril, au patriarche orthodoxe Abbouna Matthias, de l’Eglise éthiopienne Tewahado, le pape exprime sa « solidarité » et assure de sa prière « face au constant martyre qui afflige si cruellement les chrétiens en Afrique, au Moyen Orient et dans certaines régions d’Asie ».
« Que les victimes soient catholiques, coptes, orthodoxes ou protestants, ne fait aucune différence. Leur sang est le même sang dans leur confession au Christ! Le sang de nos frères et de nos sœurs chrétiens est un témoignage qui crie pour être entendu par tous ceux qui savent encore faire la distinction entre le bien et le mal », ajoute-t-il.
Lundi également, le préfet de la Congrégation pour les Eglises orientales, le cardinal Leonardo Sandri, a déclaré voir en eux “des martyrs qui ont témoigné de leur foi jusqu'à la mort, sans peur”.
L'Oeuvre d'Orient a appelé à "neutraliser" le DAESH d'urgence pour éviter d'autres tragédies.
Aujourd’hui l’Eglise éthiopienne orthodoxe compte quelque 35 millions de fidèles. L’Eglise éthiopienne catholique (séparée en 1839) compte quelque 900 000 fidèles et elle célèbre la liturgie dans la langue Guéez.
A.K./A.B.
Message du pape François
A Votre Sainteté Abbouna Matthias,
Patriarche de l’Eglise orthodoxe éthiopienne Tewahedo,
C’est avec grande consternation et tristesse que j’ai eu connaissance de l’énième violence perpétrée contre d’innocents chrétiens en Libye. Je sais que votre Sainteté souffre profondément des atrocités commises contre ses bien-aimés fidèles, tués au seul motif qu’ils sont des disciples de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ. Par ce message, je tiens à vous exprimer ma solidarité la plus sincère et vous assurer de ma proximité par la prière face au constant martyre qui afflige si cruellement les chrétiens en Afrique, au Moyen Orient et dans certaines régions d’Asie.
Que les victimes soient catholiques, coptes, orthodoxes ou protestants, ne fait aucune différence. Leur sang est le même sang dans leur confession au Christ! Le sang de nos frères et de nos sœurs chrétiens est un témoignage qui crie pour être entendu par tous ceux qui savent encore faire la distinction entre le bien et le mal. Et ce cri doit être entendu surtout par ceux qui tiennent le destin des peuples entre leurs mains.
En cette période, nous sommes pleins de la joie pascale de ces disciples qui reçurent des femmes l’annonce que le « Christ est ressuscité d’entre les morts ». Cette année, cette joie ne faiblit pas mais elle est assombrie par la tristesse. Toutefois nous savons que la vie vécue dans l’amour miséricordieux de Dieu est plus fort que la souffrance éprouvée par tous les chrétiens, cette même souffrance qui unit tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté dans toutes les traditions religieuses.
Veuillez recevoir, Votre Sainteté, mes très sincères condoléances et partager avec moi l’étreinte de la paix en Jésus Christ notre Seigneur.
Vatican, 20 avril 2015
Franciscus
Traduction de Zenit, Océane Le Gall
- Viết bởi Radio Vatican
Vatican 2015-04-19) - May the witness of the martyrs help us to avoid the temptation of transforming our faith into power. Those were Pope Francis’ words during his homily at the morning Mass in the Casa Santa Marta on Monday, as he reflected on the Gospel story of the crowds who come searching for Jesus following the multiplication of the loaves and the fishes.
Noting that the crowds came looking for Jesus, not out of a sense of religious awe and adoration, but rather for their own material interests, Pope Francis said when we take advantage of faith and are tempted towards power, we run the risk of failing to understand the true mission of Our Lord.
We see this attitude repeatedly in the Gospels, he said, where so many people follow Jesus out of their own interests. Even his own apostles, the Pope said, like the sons of Zebedee who wanted the jobs of “prime minster and finance minister”, they wanted to have power. Instead of bringing to the poor the Good News that Jesus came to free prisoners, to give sight to the blind and freedom to the oppressed, we are tempted to transform this message of healing into a tool of power and to take advantage of our encounter with Jesus.
Pope Francis noted that this was also the way that Jesus himself was tempted by the devil. Firstly by offering him bread to eat, secondly by offering to create a great show so that people would believe in him and thirdly by urging him to worship other idols. This is our daily temptation as Christians, the Pope said, not to believe in the power of the Spirit, but instead to be tempted by worldly power.
In this way we are drawn increasingly by the ways of the world towards that attitude which Jesus calls hypocrisy. We become Christians in name but in our hearts we act out of our own interests, weakening our faith, our mission and the Church itself. Just as Jesus told the crowds, “you are looking for me, not because you saw signs, but because you ate the loaves and were filled”.
May the saints and martyrs, the Pope said, awaken us with their witness of following the path of Jesus and announcing the year of grace. When the crowds at Capernaum understand Jesus’ rebuke, they ask him “What can we do to accomplish the works of God?” Jesus answers, “This is the work of God, that you believe in the one he sent.” Pope Francis concluded by praying that God may give us the grace not to fall for the spirit of this world which leads us to live like pagans beneath a veneer of Christianity, but to believe and trust in God and in the one he sent to us.
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